planète rap - freestyle de vald en live dans planète rap ! lyrics
[couplet 1 – i.n.c.h.]
wesh connard, désolé, j’vais déchirer ta prod
v’là l’soûlard à qui faut jamais confier ta gosse (jamais)
j’perds pas l’nord, j’suis à l’ouest mais j’suis méga fort
et si j’galère à écrire mon seize, fais-moi sniffer d’la colle
j’aime trop ma vie même si elle est hardcore à suivre
et même que les […] choque la mif’
quand ton biff s’évapore, c’est pas d’bol
et tu sens qu’ce mois-ci la graille fera que t’titiller la gorge
j’suis pas une psy, j’peux pas rentabiliser chaque strophe
du coup, j’balance mes premiers jets sans utiliser d’capote
j’fais pas du son pour avoir plus d’affinités
c’est pas grâce à mes habilités qu’un jour j’vais toucher l’pactole
ça, c’est sûr, j’vais pas m’c-sser l’cul
j’ai eu besoin de rimes en trop pour m’faire une sale réput’
tu m’as pris pour une de-mer qui dégueul-sse tes murs
du coup, j’te conseille juste de pas m’marcher dessus
[couplet 2 – i.n.c.h.]
tu suces des bites pour la saint valentin
t’en as plein l’bide comme une femme enceinte, tu t’ferais même pas qué-bra pour des cailleras dans l’train
m’raconte pas ta vie, c’est une histoire sans fin
viens pas m’teste, tu resteras en chien
j’ai plus l’temps de xxx, j’prends d’l’amplitude
et ça fait un paquet d’années maintenant que j’trempe dans c’bidule
et, d’temps en temps, j’me tape des p’tites chiennes
mais, t’inquiète, j’me lé-bran tous les soirs sur jacquie & michel
j’ai plus toute ma tête, j’ai tisé toute la semaine
j’pourrais faire des rouflaquettes vu qu’j’encule toute la terre
j’sais pas où ça m’mène mais, toi, t’y seras pas
bouffe ma merde si tu veux suivre ma trace
yo, pas croire que j’parle encore de cocaine
j’préfère mon style à ton rap de gros dep’
j’nique des bonnes femmes des phares à fossette
j’termine à l’arrache, y’a pas d’problème
[couplet 3 – suik’on blaze ad]
j’ai des étoiles dans l’crâne et d’la merde dans les yeux
j’crois qu’l’aveugle a la tête dans les cieux
j’suis tellement dégueu qu’j’en deviens tout doux
le bien et l’mal : pourquoi discerner bêtement les deux ?
j’détiens que des bouts d’bouts, dans mes couplets coule toute
ma folie, j’agonise au milieu d’ces poules mouillées
moi, j’suis boursouflé et j’suis rouillé
à force de chialer, la tête dans une paire de gougouttes
t’espères un coup d’pouce, faudra faire du charme
pourquoi faire du rap si c’est pour raconter tes coups d’blues ?
lave-toi au pousse-mousse, ramène donc du flouze, couz’
t’as une jolie bouille, amène ton boule, j’te paye une trace
t’sais qu’c’est une tragédie, gros, ici, y’a pas d’génie
surtout n’oublie pas, j’t’ai dit : c’qui faut, c’est du cash
qu’on traîne à côté du d-ss, prêt à frotter une ‘t-sse
pour qu’le génie sorte, et j’ignore quel idole est ignoble
j’entends tout un tas d’discours à la con
à croire qu’ils rechargent leurs paroles à six sous à la pompe
comment tu veux qu’j’m’en sorte ? y’a dix bavures de ripoux à la seconde
tu verras qu’ils sont nombreux, tous ceux qui prient pour qu’allah tombe
le contrat m’attend avec le diable
si j’reste les bras ballants, c’est qu’j’aime le marbre, ta gueule
des molotovs, et j’vois des charlie partout
vue monochrome, vie monotone, et puis ça joue les lolitas
qui adorent tirer de jolies cartouches au milieu d’ces cartoons
j’crois qu’y a trop d’images, donc j’enlève mon sonotone
à la salle comme robocop, plus un poil qui colle au torse
et c’est encore une pauvre conne qui en profitera
ça joue les martyrs imaginaires, pourquoi ? qui m’a giflé ?
ton maquillage d’hier coule sur tes gros nibars
tous parlent de s’agiter, doucement, les gars, j’hiberne
tous ces coups d’boules mous n’sont qu’des balivernes
j’suis qu’un alien, calibré pour pas plier
ne priez pas pour moi car, moi, j’n’aime pas les happy ends
trou d’balle sur l’appuie-tête, c’est du nqnt
c’est c’qu’il fallait démontrer à tous ces smileys
bye mec, je te laisse te faire consommer par l’net
t’es pas un clébard, attends un peu d’signer chez barclay
mac lesggy m’a dit : “mate mes skis”
j’lui dis : “c’est quoi les bails ?”, il m’dit : “téma comme j’suis en high def”
j’spécule sur la fin du monde
les scientifiques aussi, on les consigne, laisse les continents et ses habitants par terre
on vous laisse des scalpels, des pioches et un tas d’pelles
desproges et des gad elmaleh pour vous faire marrer
attendez la marée pour pouvoir vous noyer
cela dit, n’oubliez pas la petite pièce au parcmètre
état d’esprit dans l’derch’, téma la présidence
-ssigné à résidence pour avoir voulu shooter dans l’herbe
et ça m’fait bouffer en vrai, mais c’est très gênant
t’as pris des coups, tu fuis tes doutes, tu finis tout édenté
question d’savoir de quel côté tu t’places
réponse : j’leur fais une cr-sse avec propreté
j’pensais vraiment qu’il me manquait une case
effectivement, c’est évident qu’il faudrait qu’tu t’c-sses et loin d’ici
car, dans la foule, tout d’vient invisible
en gros, tu pèses le poids d’une plume au milieu d’une m-sse
[couplet 4 – vald]
sous tes guibolles la terre s’ouvre, mes bras sortent et font des oigt-d
trop de de-mer dans ton corps qui s’écrie « epandez-moi ! »
ton âme la pute qui s’écrie « fécondez-moi ! »
dame nature qui fond en larmes, les humains qui font des lois
retiens ma pipe dès qu’on s’écarte, retiens ma bite défoncer le toit
vide, vite, retire-moi, j’tire, j’regarde la vie entre mes doigts
j’vois le démon ; des fois, je lâche des gre’ à fragmen’
gros, ce monde est barge mais je craque pas souus la pression
magma sous la mèche, on frac-sse toute la légion
avant que je ramène ma face, tout allait bien
mathafack, j’suis la raison
sale f-g, t’es la bestiole sur l’asphalte
y a que du royaume d’agartha que j’veux l’adhésion
je t’envoie mes meilleures ondes
dans le fond, je suis tellement bon
je suis pas ce maudit player blond, je rôtis entre les bombes
je claudique ; jamais j’ai honte, pov’ type, je profite
avant les profits, je fais mon possible pour mon posse
mon poussin, j’en roule un comme jean moulin
y a pas que de l’eau dans mon moulin
je lâche un molard pour les moules à ma porte
et bien des choses, sauf la mula, moulèrent mes poches
moult fois ce fut mou, moult fois sans fumer
enculé, j’suis plein d’amour, plein d’atouts
sur mon cœur et sur mon cul, un blindage rouillé feinte la foule, fin
j’ai faim de vie comme un défunt
plein de vices comme un mec sain
je suis craintif comme un essaim
j’inspecte comme un médecin
merde, z’êtes des insectes, pas des terriens
j’sais que tu veux m’arrêter, viens
mec, tu peux, paraît que c’est rien
je fais tout ce que je peux pour être serein
beetlejuice, beetlejuice, beetlejuice
nique tous tes middle trou, depuis que de toutes petites bougent
je rappe comme les beatles ou les svinkels
je fournis que des rimes de bourge qui plient le cou
nqnt pire que tout
fils de pouffe, l’empire te chouff
la france est dépressive comme un aryen tressé
avec le temps, les spectres rétrécissent, ça sert à quoi d’stresser ?
ma secte est réceptive, mon sperme est sélectif
depuis que les b.a.-ba je sais maîtriser
je fais que briser
l.d-v.a ça devient prisé
des dizaines (de personnes) veulent sympathiser
mes seins pointent comme les pyramides de gizeh
j’c-sse une guinze et roule un terh très très aiguisé
qu’importe l’heure, jamais déguisé
frère, est-ce que c’est pigé ?
des grands pilons aèrent le champ de mon viseur
ton embryon de carrière dans mon freezer, snitch
c’est quoi le message ? r
nqnt n’est que présages, frère
la première tape part au pressage
comme les guerres, toutes mes merdes traversent les âges
je brave ce game de braves chbebs
j’axe mon zen vers les astres
van-sully sully sully sully
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