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planète rap - freestyle [part #4] du s-crew dans planète rap ! #destinsliés lyrics

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[couplet 1 : framal]
mon cœur me dit que l’homme est bon
mon expérience n’en dit pas autant
les filles rebondissent comme dans james bond
eh, yo, on a plus d’un fil à retordre
plus brillant que des lingots d’or
je me suis mis à rapper ma vie
pour rien ça déglingue au glock
en aucun cas je dois rater ma cible
ce sera toujours l’un contre l’autre
on fait pas du cash tous -ssis
quand certains ce battent pour l’eau
le diamant brille mais c’est un fugazi

[couplet 2 : 2zer]
si on veut avoir la paix, il va falloir s’entraider
c’est bien de savoir frapper, c’est mieux de savoir encaisser
tout seul, tu vas plus vite, à plusieurs, tu vas plus loin
je viserai le soleil quoique tu me dises, quitte à ce que je ne vois plus rien
on fait la paire, moi et ma p-ssion, donc rien à faire, je mise tout
la voie que j’ai prise est à sens unique, ouais j’peux pas faire demi-tour
y’a ceux qui tapent des mains et ceux qui tapent sur le ring
je veux caner sur scène comme apollo creed
je veux pas savoir ce que j’ai pas pu devenir, t’es sûr de mourir, t’es pas sûr de vivre

[couplet 3 : mekra]
me fais pas la bise ta gueule est un peu trop bizarre
faut croire que même dans l’business, j’reste froid j’suis l’fils du blizzard
j’rêve pas d’ibiza, plutôt d’îles paradisiaques
faut qu’tu me ramènes ma tisane, ma tise et suffit d’une pizza
hé hé hé ! j’suis l’chef donc félicite
tous mes frères enchainent du sh-t
j’suis dans l’secteur, j’fais du chiffre
dans quelques années, j’me vois bien piloter ma féfé
rendre fier ma ville, les frères enfermés deviennent fêlés
on se sait les couz’. on prend des trains de vie différents
mais pas besoin d’accoudoir pour se serrer les coudes
j’ai envie de m’élancer faut que j’arrête de faire la feign-sse j’veux beaucoup d’argent, j’ai envie de me dépenser

[couplet 4 : mekra]
ouais c’est maladif chez moi pas d’arrêt maladie
j’suis dans l’paradis ahki loin de ces parasites
on n’est pas rasés khey loin d’être comme el atr-ssi
j’vais tracer toutes ces cr-sseuses qui font des p’t-tes blagues racistes
j’suis dans l’phrasé armé, c’est framal et v’là l’cramé
les princes déclarent les cl-ssiques, gars ils arriveront pas à nous calmer
z’êtes pas prêts encore : les byles-ka s’entraînent à fond
c’est en coupant le cordon ombilicale que tu t’fais un nom

[couplet 5 : doums]
ma fierté m’aura p’t-être un jour
j’préfère ça que de vivre à genoux
j’suis pas comme vous, non, j’suis pas un gnou
quand la coupe est pleine, on plaide la self-défonce
ouais l’affreux, j’t’efface, en un quart de seconde
j’ai pas fait l’quart de siècle, toujours la même routine
j’me mets à faire du sport, j’arrête la semaine d’après
j’fume la verte, l’amnes’, pour oublier mes soucis
et j’en ai beaucoup, frérot, oui j’en ai beaucoup
ça chauffe, c’est l’insolation mais c’est pas l’afghanistan
je bibi ta consommation pour toi c’est comme un talisman
pas de deuxième sommation, la soumission sera la seule issue
la solution c’est l’khaliss mais c’est salissant
même les voleurs ont des valeurs
même les voleurs ont des valeurs

[couplet 6 : luxe]
on avance sans laisser derrière aucun re-frè, ouais
on avance sans laisser derrière aucun re-frè
si c’est pour voir les miens refaits, je t’allume sans aucun regret
un type atypique, mon plan d’action est magnifique
tes gars sont pacifiques
ils ont entendu les coups d’feu puis sont partis vite
la france me haït, j’suis constamment dans de sombres besognes
j’suis trop défoncé pour me rappeler des leçons qu’je donne
vise le zénith, avant qu’un d’ces flics me raidisse
avant qu’mes chances de m’en sortir se réduisent
on n’prête qu’aux riches, sinon j’serais déjà millionnaire
respecte la prose d’un ghetto visionnaire
négro tu sais pas rapper, le mic j’l’actionne
le style bastonne comme michael mike jackson
ecoute, soif de paysages exotiques mais j’pourrai pas m’envoler sans flouze
notre ancienne salle de break s’est transformée en four
la drogue nous fait vaciller
echange mon cœur contre un glacier
mes négros sont en acier
délit d’faciès
b-boy d’élite, l’-ssiette a été remplie sur le béton armé
tu veux test, négro ? t’es bête, on est armés

[couplet 7 : john hash]
j’pose 10.000 questions : qui suis-je ? un ange ou un démon ?
un mec qui s’k!ll au pilon et qui s’fiche de tel ou tel monde
kiffe les blondes, hôtels, c-cktails et soirées daines-mon
s’fiche de honte, attendant qu’les verres de belvédère montent
qui t’parle de tout ou de rien, qui paraît cool ou qui vient
t’c-sser les couilles, qui se débrouille ou te dépouille de tes biens
une belle bouille tiens, la vie n’m’a pas fait c’cadeau
xxx, dans la merde jusqu’au cou, j’ai le swag d’un scato
c’est vrai que tout c’qui n’est pas très catholique m’attire
nos go se mouillent, les flics nous fouillent et donc si t’en as marre tire
les blunts se roulent, la beuh nous rend cool du mardi au mardi
kamikaze comme des rebook avec des putains d’couilles de martyre
tempérament calme mais j’refuse une vie qui m’ennuie
j’enclenche, j’crache de la fumée aussi blanche que mes nuits
j’ai quitté la terre, che-cra, mais je n’sais plus c’que je fuis
mes poumons dead, j’en suis pas fier, j’-ssume seulement c’que je suis

[couplet 8 : saïga]
méfie-toi de celui qui parle de l’autre, la nuit porte conseil
les idées fraîches, alors je taffe mes phases sous le soleil de l’aube
je manie le mic dans la team le talent bannis les wack
malpoli et blague, dieu bénis ceux qui dévient les bacs
un peu de buzz, et hop les gos rappliquent
les vies s’inventent, la blanche se vend
ca concurrence le crack du gorafi
sortir les gars sûrs, posés sur des bancs, bah ouais
y’a pas que les gps qui te branchent sur des plans
le cul entre deux chaises, entre le taf et la street
le rap, les c-sses pipes, attentif quand l’un demes gars se piquent
ouais t’en fais des cl-ssiques à force de jouer de la flûte
ton fute en baisse comme tes vues et la crise dans la zik
tu veux le feu en feat ? négro c’est ardent
surfer sur des flammes, t’es plus marrant que kevin hart
ouais ici c’est hard, avec une hublot au poignet
je veux bien croire que le temps c’est de l’argent
et faire tâche dans le décor, mon gava c’est pas de l’art
pour t’enculer, je suis comme ton ex, en gros je suis partant

[couplet 9 : 2zer]
comme l’homme de l’est, j’attends l’apocalypse
je profite avant qu’on m’refroidisse, avant qu’ma peau palisse
dans mon ciboulot, j’suis mitigé, oui, si j’ai un pet-t boulot
un salaire, j’irais prendre l’air même si j’vivais ma vie sous l’eau
le rap me dégoûte comme les pires aspects des filles gâtées
j’vais vite gratter malgré que j’dérive, là, mais j’déprime jamais
les vices cachés des miss fâchées, ça entraine des vies gâchées
dédicacer des pet-tes t-sses-pé ? autant caner déshydraté
ma vie d’avant, merde ! j’peux pas la quitter
zer-2 va rappliquer, faire de l’art appliqué
j’vais devoir jouer les crevards, plus qu’deux lattes à tirer
tous maladifs, touche pas la mif’ ou j’vais te ratatiner

[couplet 10 : 2zer]
faut que j’devienne légendaire, que j’éclaire les lanternes mais
ici, c’est l’enfer depuis qu’j’vois mes frères s’faire enfermer
nique le système carcéral, j’ai pris flemme de p-sser àl
je préféré les décibels et puis les péritels des caméras
ne m’colle pas d’étiquette, j’bicrave des citernes de came hélas
j’baise les fliquettes, éviscère des criquets de chaque tié-quar
nous allons nous équiper comme les p’t-ts mecs des favelas
le ballon, j’l’ai esquivé, j’ai fait vibrer des tas d’pét-sses
wesh kaf-ss ? moi, j’froisse des spliffs
la poisse m’esquive, j’suis la poussière dans l’mauvais œil

[couplet 11 : mekra]
le soir, j’p-sse du cool-al, convoitises d’une bonn-sse
trop d’connards font naufrage, ça flippe vu nos armes
a quinze dans l’zinzin-gam, vous serez comme mon blaze
posés dans un gamos ‘vec potes-bomb-sses
chien de la c-sse, tu siffles les moches et ça c’est illégal
j’aime les femmes qui kiffent les hommes
mais pas les pet-tes pédales
t’as pas d’talent, conn-sse, mais qu’est-ce qu’tu veux savoir ?
j’fais pas d’cunnilingus, j’donne pas ma langue au chat
j’aime pas l’état et la bédave et toutes ces t-ss sheitanisées
tu fais l’vrai gars mais les vrais savent
tu fais qu’ler-par et baliser
c’est quoi les bails, j’fais que pe-ra, saha, j’remplis des salles
pet-t, j’avais toujours les mêmes sapes
comme un héros d’dessin animé

[couplet 12 : luxe]
dieu est grand, j’le laisse faire
tout c’que j’fais la tess flaire
le rap, le break : c’est juste une histoire d’amour avec la caisse claire
s’inventer une vie pour l’rap c’est sûr que ce n’est pas thug
la défense, place de la coupole : j’gagnais mon premier battle
puis la rue m’a donné ma chance finalement, jusqu’au firmament
délinquant fiscalement, négro nique la banque
en bas de l’immeuble je caille, mes n-ggas te graillent
dealers de white, pisteur de child, kicker de mic : négro vise la bande
âme couleur encre de chine
argent illégal, 3 heures du mat’, trentième étage, ventre vide
vas-y, rentre le fric
faut traire le système comme une vache
même dans l’illégal business faut du cash
si tu veux démarrer tes affaires du bon pied
le destin voulait m’voir perdre mais le destin s’était trompé
le break, le rap : j’ai fait c’qui faut pour être un tueur dans les 2
jeune hustler, homie check la lueur dans les yeux
une meuf de paname voit qu’j’habite à harlem
elle m’a dit : “faut qu’on baise, asap, aussi vite que possible”
négro, pour l’fric j’monte les marches aussi vite que rocky
opère illégalement, j’avais c’destin fiché
c’est plus facile de poser un faux chèque si t’es l’amant d’la meuf au guichet

[couplet 13 : saïga]
méfie-toi de celui qui parle de l’autre, la nuit porte conseil
les idées fraîches, alors je taffe mes phases sous le soleil de l’aube
j’ai appris qu’la vie fait pas d’cadeau

[couplet 14 : john hash]
nice, corse, paris
on a tous fini avec le score, maintenant on parie
tes amis n’sont pas là si ça s’corse : partis
si j’crève, j’ai pas ma place aux chiottes du paradis
parce que moi j’ai fumé, j’ai péché, j’ai fumé, j’ai péché comme jamais
fumé, j’ai fumé, j’ai péché, toute la poisse que j’amène
si j’avais l’pouvoir j’dirais qu’la mer tue
comme stomy et p-ssi au ministère d’l’amertume
alors quand j’écris, moi je marche dehors
je rêve de 4×4 gris, de disques avec de l’or
quelques comptes en suisse, fiscal est le parachute
mais l’important c’est pas la chute, bref tu connais la suite
parlent de réussite, l’échec à la mode
des fois j’ai l’impression de voir des proches qui ressuscitent
tout c’que l’on suscite, les noirs à la mode
amadou : hier, maintenant et demain c’est mort

[couplet 15 : nekfeu]
f-ck la mode, j’veux plus être un mec soumis
des nuits complètes d’insomnies mais j’prendrai pas de lexomil
est-ce que j’suis sympa ? forcément, mais tu verras plus nek sous weed
j’replongerai pas même si parfois ça m’manque, c’est comme mon ex au lit
alors j’avance intensément
que p-sse la mort quand j’vois…

[improvisation 1 : nekfeu]
je bafouille parce que j’débarque
c’est comme ça qu’je fais : j’t’épate
c’est comme ça qu’j’débarque, mange des pâtes
c’est nek le fenek, mec sur l’top départ, ouais
on fait le truc, on s’tape des barres, ouais
mec, j’ai même mis le kaway

[couplet 16 : nekfeu]
fennek resplendit, même dans l’ivresse j’reste dandy
ex-bandit, tandis que j’baise, j’brandis l’texte, qu’est-ce t’en dis ?
reste tranquille, j’baise en finesse, baise en vitesse
tant pis, j’reste en ville, envie d’fesses mais pas d’gestes gentils
laisse j’estampille nek, faut m’backer si j’arrête
j’fume pas mais pour draguer j’ai mon paquet d’cigarettes
et je vous emmerde tous, fume un joint d’herbe douce
j’aime baiser quand la mpc joue un air de blues
anarchiste pas démocrate car des mômes craquent
regardez mon crâne, les démons m’grattent, gardez votre crack
nek le fenek balance des mots crades

[improvisation 2 : doums]

[couplet 17 : 2zer]
si dieu le veut, jusqu’à 120 ans
voilà mon espérance de vie
toujours dans l’excellence, tu connais les préférences, on est vraiment des références de style
dans l’équipe aucune défiance, nan
on ne tolère pas la médisance, nan
on est méfiants, choisis ton camp, au lieu de rester entre deux files, nan
tant que je n’ai pas le million, tous mes égotrips resteront de l’autodérision
besoin de second degré pour quitter ce monde de merde
je me laisse aller avant de prendre une autre décision
trop de menaces et de coup de cr-sse pour des loves
je le sens tout de suite quand un traître tape mon épaule
ne le vois tu pas, de quoi tu parles à part de ton écho
moi, rester à ma place ce n’est pas dans mon créneau

[couplet 18 : doums]
viens pas pazar ici, y a que des pazarozos
tu test, on t’blesse, on t’fait des fatality
y a pas de crazarizi, nous on a des épaules larges
vous, vous avez des bolas, p-sse à autre chose, merde
ramène le 12 et qu’on se malmène le pou’ frêre
alerte au rouge, couz, averse de soupe, mleh
les bisons sont d’sortie
les cornes acérées, prêts à lacérer pour le solstice

[couplet 19 : nekfeu]
je suis un nomade, ne me dites pas qu’on est bons qu’à stagner
c-sse-toi, moi, je ne me sens pas casanier
instable, ne me parlez pas de m’installer
quand t’es différent des autres, on veut te castagner
t’es malheureux quand t’as qu’un rêve et que tes parents ne veulent pas
traîner vers le bas, t’inquiète, je te promets de me battre
non, je n’aime pas quand je me promène et que je vois
ce pet-t qui se fait traquer pour des problèmes de poids
mais pour qui se prend-on ? de tristes pantins
j’écris c’te pensée pour que le christ m’entende
et, dans nos cœur, on est à l’ère de l’age de glace
aymé ? c’est plus qu’un personnage de h
on n’est pas des codes barres
j’ai dit t’as la cote sur les réseaux puis ta cote part, nan
on n’est pas des codes barres
t’as la cote sur les réseaux puis ta cote part
le regard des gens t’amènera devant le mirage du miroir
mais, moi, j’ai la rage, ma vision du rap, elle est rare
tant qu’un misérable s’endormira dans la rame
pendant que le rat se réchauffera sur les rails
vu qu’on forme des copies conformes
qui ne pensent qu’à leur pet-t confort
j’ai dit vu qu’on forme des copies conformes
qui ne pensent qu’à leur pet-t confort

[couplet 20 : framal]
on est aux states, on est reparti quand on met du galon
le naturel est toujours au galop
quand on parle de cents patates, on parle de champ d’bataille
personne n’est imbattable mais ma race ne veut rien savoir
le rap c’est dans la peau, rafale de flow dans ta porsche
quand on sera dans la tombe, serais-je emmené par la mort ?
ou par une balle dans l’buffet ? combien n’ont rien pu faire ?
ma dernière déclaration sera une déflagration
j’ai juré d’être fortuné sans qu’on m’apporte une aide
si c’est pour venir m’importuner pour être à bord du jet
ma dernière déclaration sera une déflagration
j’ai juré d’être fortuné sans qu’on m’apporte une aide
si c’est pour venir m’importuner pour être à bord du jet

[couplet 21 : saïga]
yo, au fond on est tous les mêmes : on aspire à faire un max de biff
j’ai connu des mecs à qui voler confortait…
pour mettre à l’abri la mif

[couplet 22 : john hash]
sans un remord je fonce, j’avance partout
je mets les pieds où l’ennemi gravite
le dos marqué par tous les coups d’épées
épié donc je fly, ouais, comme lenny kravitz
j’fais pas ça pour flamber tout l’été
regarde c’qu’on était, tous les échelons faut les gravir
graver nos blazes qu’ils refusent d’épeler
pas grave dans le fond on sait qu’ils font tous crari
j’ai vu l’être humain, j’ai roulé mon teh
j’ai vu les meilleurs et les menteurs tous finir à terre
a terme j’ai subi les coups, jeune et sans repère
et puis j’ai dit : “merde, rien à foutre, j’ai compris le thème”
le thème, ils nous mentent trop
en-dessous font croire qu’ils sont au-dessus
au-dessus, nous on veut trop d’sous tout d’suite
donc on s’entre-tue comme les hutus et tutsis
plus rien ne m’étonne, si mes amis devenaient mes ennemis je les laisserai faire
triste est le sort, mes anges tous les jours se font humilier par lucifer
plus rien ne m’étonne, si mes amis devenaient mes ennemis je les laisserai faire
triste est le sort, mes anges tous les jours se font humilier par lucifer

[couplet 23 : doums]
déjà 9 heures de l’après-minuit
un dernier joint de kush pour me ramener au lit
le sommeil m’a zappé, le destin d’un vendeur de sable
eh eh, à caisse ou bien à pieds
paye-moi en pièces ou en papier
les doros, le gouari, le cash
eh eh, sur la tête de la madre
la marine j’me range, que les ients-cli le savent
f-cked up, c’est le système qui nous consume
c’est chacun sa croix, négro f-ck tes droits
la xxx se prend dans la nuit norie
soit t’es ch-sseur soit t’es la proie
si tu crois qu’t’es ch-sseur, eh bien c’est qu’t’es l’appât
n-ggiz, t’es locked up



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