a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

planète rap - gros freestyle de l'entourage en live dans planète rap ! lyrics

[couplet 1 : nekfeu]
a quoi ça sert de faire des battles contre les mythos ?
on est malade, pas le temps d’se battre contre des microbes
toi, j’vais te faire fermer ta gueule et d’ailleurs je compte le biff
ok, disons qu’on est disjoncté, qu’on gratte les rimes en tailleur
récolte des visions dingues, mec, ici, loin de l’église on die
f-ck les miss à l’horizontal
mais les vraies causes de la vie sont ailleurs
en despotes sur le disque, on se disloque, f-ck !
ils disent flotter, j’ai mis l’nom dans mon death note
faut pas qu’on glisse, nan, peace and love dans l’agiss-m-nt
faut pas qu’on disjoncte à dix-sept ans en dix secondes
les établiss-m-nts pensent t’éduquer, ils se mentent
près de la source, je puise l’encre dans les gis-m-nts en islande

[couplet 2 : 2zer]
personne ne peut stopper ma force mais j’vous cache ma rage
comme tous mes côtés atroces et où j’p-sse à l’acte
mais tout ça, ça marque, on n’résout pas sa life
en jouant l’toréador, les coups partent, bâtard
rappelle-moi tous tes coups ratés
quand l’etat voulait nous feinter
la vendetta de mes fous à lier, t’obligera à défourailler
j’écoulais d’la marchandise, depuis j’me suis attendri
pour pas que le maton m’dise
“tenez-vous droit ! venez vous lavez !”
j’ai la force h24, sous adrénaline
j’ai toujours la gouache sans mettre de poudre à mes narines
j’veux soulager ma vie sans outrager la rime, j’ai la force
pour taffer la nuit quand vous allez dormir, on est d’accord

[couplet 3 : framal]
j’ai le même regard qu’un canon de calibre
comme une grosse baffe de maçon j’arrive
j’suis devenu fou, que des mecs de l’ombre, paris
m’a rendu sombre, accro du son mais quand j’affronte, high kick
pour les keufs, le pompe sera vide
fonce dans les catacombes quand les matons rappliquent
et c’est mes péripéties, j’excite les filles en p-ssant
appelle-moi l’ennemi des flics, j’aiguise des rimes, j’prends l’argent
pire qu’une épidémie, j’vesqui les schmits, l’équipe est vive
terrible, et oui, j’débite des lignes d’épileptique, j’tente ma chance
et y’a pas d’autotune, que des phases qui claquent ton gros cul
tu cherches un endroit où me taper, poto ? va sur youtube
on débarque, on est quatre, on t’épate, faut des li-sses
qu’on démarre des gamos lotus

[refrain 1]
jeunes entrepreneurs, jeunes entrepreneurs
jeunes entrepreneurs, jeunes entrepreneurs
jeunes jeunes entrepreneurs, jeunes jeunes entrepreneurs
jeunes jeunes entrepreneurs, jeunes jeunes entrepreneurs

[couplet 4 : doum’s]
tu veux m’comprendre, mamen
j’veux pas ton flouze mais ta parole
que tu vas pas m’mettre de carotte
même si c’est rare qu’on s’appelle
viens, on vesqui c’bal rempli d’travs et d’zombies
enlève ton masque, guette moi dans les yeuz, pas d’tromperies
hey yo, qu’est-ce qu’y s’p-sse ? t’es plus qu’une coquille vide
tes nouveaux potes t’ont pompé l’âme puis ton biff
y’a qu’les vrais qui savent c’qui s’p-ssent derrière tous nos pics
tu t’reconnais, poto, fais pas ton bourré, -ssume tes propos
menteur, t’es qu’une poupée entre les mains d’geppetto

[couplet 5 : mekra]
les traîtres sont de vraies balances
wesh, mais t’étais d’la bande, ouais, ouais, ouais…
faut qu’on t’saigne avant qu’tu mènes la danse
l’ami est éphémère, y’en a qui parlent derrière ton dos
y’en a même qui t’baisent et prennent ton cash, bellek, mon soss
putain de merde ! c’est quoi ce délire de faire
le soss et voler dans les mêmes dièses, oser se dire deux frères ?
tous hypocrites, les gens t’hypnotisent
leurs masques cachent leurs émotions et se disent trop vif
y’en a qui servent du charme et te font croire à des rêves dars
et y’en a qui t’cachent des choses, et ouais, pour pas te faire mal
trop d’acteurs, de squatteurs, de bâtards, de gratteurs de biff
faut des valeurs, le malheur t’arrache la peur de vivre

[couplet 6 : jazzy bazz]
je n’ai pas d’raisons d’stresser
mais face aux tentations j’vois mes démons s’presser
quand j’rêve j’ai l’impression d’vivre
quand j’vis j’ai pas l’impression d’rêver
tu demandes des réponses mais il n’est pas question de t’aider
c’est ainsi dans ce monde, tout l’monde s’fait baiser
même les meufs à principes
pour le peu qu’tu insistes deux secondes
malgré le ravin, je me maintiens dans la chute
tirant sur chaque joint tel un camé
faut qu’je parte loin dans la lune
sur la planète terre c’est chacun dans sa bulle
j’regarde les p-ssants en me baladant le matin dans la brume
j’ai mis du chagrin dans ma plume, du temps sur chaque poème
j’ai pas vendu ma peau mais j’fais des plans sur la comète
j’ai défendu ma promesse… aux plus planant d’mes rêves
m’éloignant des ténèbres par ma foi dans le dép-ss-m-nt
et ma joie quand mon esp-ce-temps s’élève
dans un environnement céleste
défendant des textes poignants, ouais, faut croire en ses rêves

[couplet 7 : eff gee]
produit solitaire, joue pas trop l’autoritaire
nique ton profil, y’a plus d’broly quand le brolic prolifère
cherche le profit en vitesse, fais-le grossir
sache que tes conneries t’mènent aux tropiques
ouais, mais aussi au cimetière
promis, frère, quand faut s’y mettre faut être courageux
j’serai soulagé quand j’serai devenu c’que j’ai envie d’être
et pour l’instant, tu sais que j’bosse dur
nique un succès posthume
donc même sur les rotules, j’finis ma journée au stud
on parle souvent d’faire d’l’oseille
mais on sait qu’y a pas qu’ça qui nous aide à trouver l’sommeil
on dit ce qu’on à dire puis vit ce qu’on à vivre
on a l’âge de construire son avenir
nique pôle emploi ! nique, nique pôle emploi !
filez-moi mes intermittences, nique pôle emploi !
yo, l’heure est venue de vous annoncer
que mon heure est venue, j’vous aurai prévenu

[couplet 8 : fonky flav]
quand paris sud s’agite, on s’replie au stud’, en famille
ninety-five slalome entre l’orgie, la famine
parfois, c’est la dèche et faut trouver des sous, vite
parfois y’a d’la fraîche et mes bougs roulent des bouts d’sh-t
moi, j’touche pas à ça, rimes, rythmes et chiffres
tu connais mes dièses
j’rêve de conquête et j’tiens en joue la nasa
zoom par là-bas, des pet-ts trafics se font dans l’ombre
rimes organisées et maîtrisées de fond en comble
certains nous jalousent, peu nous arrivent à la cheville
les rappeurs qu’ils adoubent finissent en arrêt maladie
fais pas la boule, ta go m’kiffe et c’est elle qui m’l’a dit
j’viens déclencher la vague de froid, la concurrence est sans abri

[couplet 9 : nekfeu]
tu vois, mec, je rappe même dans l’thalis
f-ck tes tentatives en impro, j’prends ta miss
c’est comme ça qu’ça s’p-sse
tu vois bien mec, final, j’rentre la mise
yeah, c’est l’entourage, jeunes entrepreneurs
le genre de crew où c’est l’zbeul
le genre de crew où y’a pas d’meneurs
et tu m’vois bien, ça crie, derrière ça kicke comme des bêtes
une sacré équipe, y’a que des têtes, y’a d’la tech
je gagne du temps le temps que mon gars deen
balance des putains de trucs dans tes dents

[couplet 10 : deen burbigo]
ici, une bonne semaine
s’commence avec une nouvelle paire d’semelles
s’termine avec une paire d’femelles et d’l’herbe fraîche
on hagar cupidon, ma belle
on lui pique ses flèches avec on te pique les fesses
oui, c’est vrai j’ai des pet-tes gos de tout-par
si j’écrivais un 16 chaque fois qu’je baise, j’aurais la disco d’2pac
sh-t, hoes, tout ça, on a ça dans la poche
et plus besoin de blabla quand j’accoste
j’ai une page fan, un clip en télé, les pet-tes meufs adorent
et m’parle pas d’un bus de tournée si y’a pas dix reufs à bord
c’qui m’arrive j’en ai rêvé sans trop l’espérer
mais j’suis meilleur que tous ces pédés
depuis l’époque des vestes pélé-pélé
j’rêve de fédérer les frères de toutes les teintes
foutre le feu, les regarder toutes éteindre
vingt-six balais, j’laisserai leur game en sale état
on squatte le haut du building, les autres balaient en bas étage

[couplet 11 : doum’s]
encore un soir où j’tente d’écrire mais ma page reste blanche
peu d’inspi, le ventre vide, il m’reste un sachet à vendre
j’me dirige vers le 6, là bas un los-bar m’attend
j’vais m’remplir le bide et l’frigo devant la porte
on se voit, on monte chez los’, la transaction se p-sse en balle
puis j’fonce dans l’trom’, rejoindre tous mes gars en bas
ça roule des cônes ou plutôt devrais-je dire des battes
goûte cette dope qui me fait relativiser
la cam c’est mal, on l’sait tous mais cela dit j’y vais
f-ck tes probabilités, je tenterais ce pari risqué
il m’faut des pepettes pour graille, j’suis pas du style lève tôt
j’garde ma conscience pour moi, fais de même, frérot

[couplet 12 : 2zer]
qui sont ces innocents remplis de culpabilité ?
ce qu’ils font, c’est dire aux gens d’mentir pour l’unanimité
ma femme m’aime, enfin, j’essaie de m’en persuader
mais quand j’ai vu sa vraie nature, j’en ai perdu la tête
c’est dommage, elle m’a plaqué pour un autre
en m’faisant p-sser pour un pauvre, putain, quelle conn-sse
j’ai la haine contre ces gens faux
qui échangent leur bien-être contre tes sanglots
ouais, tu n’as pas d’humilité et agis par cupidité
j’croyais t’avoir purifié, j’réalise ma stupidité
dites-moi qui sont les coupables, qui sont les fautifs
j’vais les enterrer sous l’sable, c’est ma vision de l’égoïsme

[couplet 13 : nekfeu]
frérot, j’te promets que je pourrais tuer de mes deux mains
ceux qui voudraient porter l’œil à la prunelle de mes yeux
j’ai pas rempli mon portefeuille, j’ai juré que j’le ferais demain
fuir mais rester serein dans la ur’, très peu de chemins
tous les jours fuir la mort de peu, rester fort, faire renaître le bien
j’vois les corps des pauvres dehors
j’ressors la fumée de mes yeux, un
joint pour sécher mes larmes, un point d’vue qui frappe l’audition
j’étais un moins qu’rien, j’ai cherché mes talents
les profs ? ils voulaient refréner mes ardeurs
mais j’préférais être rappeur et j’ai fait mes galons, eh
ça t’est égal d’être du coté des spectateurs
t’as ta teille, ta play’, ta flemme et cætera jeune
il faut que tu cogites même sous gros sh-t, viens
il faut qu’tu t’oxygènes, ton quotidien
est toxique, faut qu’tu profites bien
c’est pas possible d’être aussi blême
c’est l’entourage, j’regrette de pas avoir voté
f-ck le fn, mon pote !

[couplet 14 : jazzy bazz]
hey, yo, dieu libère moi d’mes peines, j’vagabonde
dans les catacombes, à mille lieux du jardin d’eden
j’ai perdu l’appét-t, mes joues se creusent
la vie n’est pas toute heureuse mais douloureuse, pleine de tragédies
j’ai laissé tomber la paix, j’emmerde la raison
et je marche avec le démon car ici même le béton est armé
a force d’errer tu fautes, y’a plus d’amour car il fait du mal
aimer une femme qui en aimait une autre
la vie c’est fatiguant, trouver d’la cons’
la rouler dans l’ombre et tourner en rond en bas des bâtiments
malgré le sale temps d’merde, la chaleur m’encercle
gars, je manque d’air
comme si je cramais dans les flammes de l’enfer
ma joie est morte dans l’drame, au revoir, je m’en vais autre part
j’ai des cauchemars et de la drogue dans l’crane
y’a plus de drôleries mais que des larmes, mec
file moi une balle, que j’atteigne une autre vie

[couplet 15 : framal]
f-ck ton crew, sale pédale, ça bouge ap
t’es tout naze, écoute, ça fait breh !
rien qu’on fait des cl-ssiques, s-crew, le nom d’mon gang
y’a que dans l’ombre qu’on tranche pour pas finir aux -ssises
souvent dans un camouflage vert kaki
l’ambiance est pourave, y’a des toux gr-sses ça vi-ser d’la weed
ici, tu perds ta vie, on t’nique ta mère à six
une bonne paire de nike air dans la tête, c’est facile
le leust est entouré donc on fait ça à notre manière
bientôt le l est en tournée donc prenez garde à vos arrières
b-tch ! et toi, dis moi pourquoi tu causes
on est au festival de cannes, toi, tu traînes à la foire du trône

[couplet 16 : doum’s]
c’est vrai, on revient du festival, on est p-ssé
faire des concerts avec le s-crew, ça s’p-ssait à vannes
ecoute les phases, doumam’s tu sais
que c’est l’télépathe, rien à foutre de ces schmets
ouais, c’est comme ça qu’ça se p-sse, on est posé à paname
c’est l’entourage qui sort le freestyle, c’est nice
donc jeunes entrepreneurs, il faut pas qu’je beg-ye
y’a qui qui kicke, vas-y, faut que ça l’ég-ye

[couplet 17 : deen burbigo]
ici, on n’a plus l’temps d’danser, contre tout l’monde on a une dent
insultants, même plus l’temps de penser
on voit rétrécir nos vies, avancer demande des efforts
réfléchir aussi, on préfère épaissir nos spliffs
rhabat, man, on devient fous
a tourner en rond comme la bac et l’45 tours
les poches à sec dans un bain d’foule
ils voient s’profiler la ligne d’arrivée, j’ai déjà fait 15 tours
j’viens d’où l’échec est une logique évolution
d’là où on prend les problèmes pour des solutions
ma flyness, faudra des années pour qu’tu l’atteignes
j’me branle pendant des semaines
puis fais l’taff d’un mois en une aprèm
rimes, flows, j’suis un genre de mutant
bigo rime avec hypnose ou still show, j’vais manger tu l’sens
illico, j’savais que les big choses allaient prendre du temps
mais mes gars sont des pet-ts pros
les autres des grands débutants

[couplet 18 : 2zer]
la vie m’a appris à ne jamais tourner le dos
y’a que le mur qui peut mater mes fesses
mais je laisse la bédave cramer tout mes neurones
ouais ouais, j’préfère ça que de me gratter les veines
j’fais ce que je sais faire le plus : gratter des 16 qui te pètent le cul
ouais sans cesse on encaisse mais j’reste concentré
j’ai une tête et un s-xe de mule
j’ai souffert dans le calme
ça prouve que mon parcours est crédible
coup d’pelle dans le crâne
pour que ces jaloux soient ouvert d’esprit
si tu b-n-lises ce que j’dis, on te malmène jusqu’à ramper
quand le cannabis fleurit, poto, ça freine la santé
véritable vécu, j’en garde les stigmates
de plus, j’apprécie les paysages et j’fume de l’herbe médicale
on reste insaisissables et têtus, toujours en indé, minable
partage équitable des thunes comme dans breaking bad
j’lèche des tétons d’minettes en toute modestie, là, j’y prends goût
j’ai l’expression direkt depuis que mon esprit est parti en couille
jusque là je t’aimais mais t’as blasphémé
je t’avais dit que personne ne pourrait m’arrêter
rageux je t’offre le droit de te moquer
si tu m’p-sses le code de ta cb

[couplet 19 : nekfeu]
la hype j’connais l’tableau, nique un vernissage
quand y’a des biatchs à ma table, mi-pervers mi-sage, genre !
ramène tes copines, ce genre de bon-sses
fais le pour mes potes, ils sont pas laids
la pute habite une chambre de bonne
mais j’suis rentré dans son palais
quand tes parents seront pas là
un son calé et mon con-cale est
enlevé sans même un seul câlin
pour les traces sur le sol y’a du sopalin
before, after
before, after
before, after
biffle ! aphte !
les bouches se collent et l’école se bouche
quand les connes rigolent, l’économie coule
et dès que la nuit tombe les coloris changent
et mes collègues colériques cognent et se push
si t’as raté les gros t-tres
je suis sidéré par les groupies
y’a ma zik’ à la télé, y’a pas de fumée sans feu
sauf pour la cigarette électronique, han han

[pont]
hein, vas-y, on prépare l’invasion
des filles dans le lit, dans le viseur des n-z-s, yo
hein, vas-y, on prépare l’invasion
des filles dans le lit, dans le viseur des n-z-s, yo
l’île-de-france c’est pas le désert
ici, les pluies d’criquets rapportent du blé, bleh !
l’île-de-france c’est pas le désert
ici, les pluies d’criquets rapportent du blé, bleh !
l’île-de-france c’est pas le désert
ici, les pluies d’criquets rapportent du blé, bleh !
l’île-de-france c’est pas le désert
ici, les pluies d’criquets rapportent du blé !

[couplet 20 : framal]
j’suis dans une suite de malade
canapé en cuir en dessous d’ses cuisses de mama
odeur de weed, de salade
mélangée à l’huile de m-ssage
les corps se rapprochent, on est tous en sueur
ça prend tout son sens pour ma puissance
j’aime les bons rapports dans la distance…
quand t’avales, j’veux entendre “oui, mon maître” ou tais-toi
fais ça gentiment, tu seras une pet-te poulette qui décoiffe
déscolarisé, rebeu, renoi, babtou, romanichel
dans les halls la misère
on manigance pour les loves à bill gates
pour les modalités, f-ck la moralité
chehma dans le bolide, mordille-toi les lèvres
audi noire et beige, sors nous ton regard exotique
tu veux nous ressembler ? bandes de nazes
si y’a des femmes mûres, je veux prendre de l’age
si t’es qu’une sale pute je peux prendre ton tahma
si y’a pas de pub je reste un gentleman

[couplet 21 : doum’s]
xxx, j’ai des montres à cinq plaques
avec mon équipe de gildas-frémont et tous mes gars de saint-anne
on foutra tous le dawa, mleh ! roule le bout de taga
baisse d’un ton avant d’avoir les bougs du crew sur xxx
sur la piste, y’a moult moult tag-ss, merde, moult moult tag-ss
que des boules, des fous, des bouches d’égout en pagaille
xxx disait : ” je t’emmerde, j’rentre dans ma maison ”
doumam’s dira : ” je t’emmerde, j’rentre dans ta maison ”

[pont]
hein, vas-y, on prépare l’invasion
des filles dans le lit, dans le viseur des n-z-s, yo
hein, vas-y, on prépare l’invasion
des filles dans le lit, dans le viseur des n-z-s, yo

[couplet 22 : mekra]
faut bien croire tout ce qu’on dit, oui, paname c’est brooklyn
p-sse le cash, j’te braque de rage quand c’est la h-ss, la routine
ramène pas d’la rouquine, c’est pas trop ma came, gars
moi j’aime d’la grosse rabza, j’aime les m-ssages sous tise
f-ck le rap game ! c’est bien mékra je t’étripe
j’vais t’éclater ta vessie si tu fais l’brave et qu’t’as de l’équipe, han
nous on a d’l’équipement, sois pas amnésique
si tu baves sur un d’mes types, tu seras un plat appétissant
couilles de lion sur la ble-ta, sur ton compte, t’as que dalle
sale mythomane, sors ton bifton, tu mens trop, sale crevard
restez tous entre lâches, vous voulez tter-gra l’écran
rendre le crew tétraplégique, paralyser quatre membres

[couplet 23 : jazzy bazz]
fichez le camp, d’épouvantables idées me hantent
prendre un couteau et te déchiqueter le ventre
si j’ai le temps, mec, je scie tes deux jambes
je perds l’équilibre entre le yin et le yang
on est tous fait d’ombre et lumière
on fait que lutter dans les bas fonds de lutèce
débilement pour des billets de banque…
laisse moi vider le grant…
viens pas gratter l’amitié
a moins que tu sois une de ces t-sse-pé d’qualité
on va faire un tour dans ma cage d’escalier
je ne savais pas qu’on serait ce nombre, désolé
ramène une pote, une vraie guenon, ramène !
ramène une pote même un laideron
j’ai des chiens de la c-sse qui l’aideront
la télévision vous désinforme
les poulets aiment se battre plus que préserver un ordre
nous aussi mais dans les règles de l’art
mec, enlève ton armure si t’es un homme
je pourrais tous vous tuer, ne me tentez pas
saloperies, je vous carbonise
je n’flirte plus avec la folie
j’ai sauté d’une falaise en lui mettant des doigts

- planete rap lyrics

Random Lyrics

HOT LYRICS