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pnl - bang lyrics

[couplet 1 : ademo]
j’monte sur scène, j’aime pas du tout, ces khénés
poto, j’kiffe pas m’voir dans tes snaps
j’fais ni mowgli, j’fais ni bambina (bambina, bambina, bambina)
j’finis et j’remballe mes sapes
j’suis tellement du bâtiment, tellement d’la rue, tellement du hall
j’suis pas comme eux, encore moins comme toi (jamais)
poto, j’ai pas gé-chan, le joint s’allume, joue pas de rôle j’comprends quand tu dis que t’es pas comme moi
faudrait un max de vitesse, faudrait un max de nuits vertes pour changer d’putain d’univers (putain d’planète)
faudrait un max de vie, eh, faudrait un max de vivres, merde, pour quitter l’ter-ter d’lucifer
dans mon vaisseau, j’me sens si seul, d’vant mes péchés, j’me vois si sale, derrière, mon ange dit “t’es si sombre”
la tête à l’envers sur l’terrain, j’vois pas l’visage de tous les autres
numéro 9, j’fais qu’des ciseaux

[refrain : ademo]
bang, bang, bang, bang, bang
j’fume un teuz et puis j’te baise
bang, bang, bang, bang, bang
et puis, j’suis b-st–l donc j’te blesse
bang, bang, bang, bang, bang
toi, tu veux test mais j’claque ta fesse
bang, bang, bang, bang, bang
tu m’dis qu’j’suis le best et tu te baisses
bang, bang, bang, bang, bang
j’pense à ma vie, j’ai l’manque d’la rue
bang, bang, bang, bang, bang
j’regarde la lune, sombre est la vue
bang, bang, bang, bang, bang
et j’trouve que ça dure, dure, dure
bang, bang, bang, bang, bang
et j’parle aux murs, murs, murs

[couplet 2 : n.o.s]
j’préfère quand c’est réel, j’préfère quand c’est réel
comme les ba-ba-ba-balles que tirait papa
capuché dans le bend’, capuché dans le bend’ (capuché dans le bend’)
tard le soir, quand ils n’me voient pas
les anges se c-ssent aux p2, les démons se montrent au cul
et moi, j’suis là sans être là car le p-ssé m’encule
on subit les blessures (choisit les points d’suture)
ouais, j’te déshabillerai (j’parle d’jà du futur)
mes sentiments sont glacés, ralentis, incompréhensibles
quelques “je t’aime” de plus m’auraient rendu invincible
mais ta haine pour ce monde est plus fort que ton amour pour moi
les écraser car j’ai vie à construire loin d’tout ça
la p’t-te voix m’a dit : “que la famille, plus que ma vie”
il restera les souvenirs, peut-être les euros, peut-être les rêves de demain

- pnl lyrics

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