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primakov ft. marzano - mer de chine lyrics

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marzano + refrain

j’étais à 10mille km de toi, t’avais des nouvelles h24 de moi, je prônais facetime jusqu’à tard le soir, 100 degré à l’ombre mais je crevais de froid 2x

primakov

j’étais à 10mille km de toi, mon âme se barre il demande que toi, j’esquive les regards nan je veux pas de ça, je criais tout bas quand je voulais te voir

je navigue solo mes démons me hantent, la fille d’après c’était mon pans+m+nt, jе promet plus rien ouais je suis pas tt blanc, ouais jе suis pas tt blanc

je peux mettre l’orgueil ouais sur le côté par contre la dignité ça jamais
je semé de l’amour j’ai ramassé du spleen
mon ange gardien ouais s’est fais canner

j’ai perdu mes couilles face à mon ex
j’e les ai retrouvées face à des bandits
je partage mon grec ouais avec mon ref
on parle de tout on parle de la palestine

marzano + pont

j’ai trop pleuré, j’ai trop donné, si tu me fixes de près et que je ferme des yeux mes larmes, pourraient te noyer, ouais mes larmes pourraient te noyer

écrire, c’est parler silencieus+m+nt, la langue se tait laissons parler les yeux, je gravite autour ouais de mes pensées je provoque la chance ouais je suis trop sous côté

primakov
j’encule les traîtres et toutes ces poucaves
j’balise j’angoisse ouais quand tout va bien
ppr au calme ouais quand tout vas mal
le vin est bon et la pute est classe

la street mon ref nan c’est pas la fac
l’amour mon soss nan c’est pas une farce
carouge+grange k je le faisais à la nage
mais toi tu penses déjà plus à moi

marzano + refrain

j’étais à 10mille km de toi, t’avais des nouvelles h24 de moi, je prônais facetime jusqu’à tard le soir, 100 degré à l’ombre mais je crevais de froid 2x

primakov

je roule à 200 rap dans la gov je brûle les étapes et je pars en cavale je saute comme mario quand je tape un dos+d’âne la ville un fantôme et la meuf est schizo, le jour elle me hait la nuit elle m’appelle et moi comme un con je repond sans tarder car mes couilles sont pleines et le cœur est chargé, j’efritte le sh+t c’est l’heure de fumer

c’est l’heure de fumer c’est l’heure des regrets je pars de chez elle mais je repense à mon ex, la routine est cruelle, et l’horreur est humaine

je vise le mille mais je tire à ses côtés, j’accuse ma ville sans défense je suis plié, le côté magique s’est perdu j’ai tout nié
je pense à ma vie sur les toits d’une cité

le beat est terrible le texte est fragile je vise ton cœur c’est le point culminant, j’avance en rampant j’avais pas les critères et pourtant je suis la, en train de bég+yer

je me sens pris au piège , les fleurs ont fané, j’encercle deux keufs je leurs demande leur papiers, j’inverse les rôles, pour savoir souffrir, pour savoir aimer, pour pouvoir tirer
pour pouvoir saigner, j’écris ce que je ressens je ressens ce que j’écris, je frissonne de joie quand j’écris cette ligne, mes parents m’appellent, ils lisent ma peine, ils prônent la paix ils chassent la guerre, je mange du caviar mais le spleen est bien là j’ai envie te revoir mais y’a trop de brouillard donc je ferme les yeux et je t’imagine dans mes bras



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