pyramine - curtis jackson lyrics
[intro]
tranquille, viens on s’tire avant de dire
c’est l’hantise qu’a l’emprise sur nos vies
d’apprentis, depuis tout pet-t on t’a menti
tant t’y tenais, à ton t-tanesque appét-t
[couplet 1]
viens là-bas on parlera de prestige
chez vous du bon flow n’en restent que les vestiges
on prend de la hauteur bats les couilles du vertige
on m’a poussé dans le vide avant d’lever mon verre (triste)
j’ai des balafres, sur le parquet se répandit plein de cognac
apportez moi les dollars, souffrirez comme ebola
t’es bonne à manier mon arme moi la monnaie monumentale
appelez moi curtis jackson, tout le monde tise
on débarque à dix, ça dépend du motif de la réssoi
je t’emmène dans mon vaisseau
on va faire un tour pour terminer les deux dans mon berceau
allez pose toi, mais ne pose pas de questions
t’aime les beaux arts, les détails et les festons
enlève ton veston, tu le laisser tom-ber
j’ai déjà mis les couverts sur la table, tu seras mon festin
[pont]
j’éteins la lumière, la lune elle éclaire
de la lean dans ton verre et la ligne dans ton nez
tu n’as besoin que de ca pour t’ambiancer
je serai le chauffeur, je suis l’ambulancier
pinpon, pinpon
[couplet 2]
tapin, j’te ferai sauter d’un pont
tapis dans l’ombre à la batman
captain à la main, je compte m’évader comme aladin
j’espère que tu me suis, à croire que j’rappe en latin
mais j’ai pas l’temps, d’étendre mes p-sse-temps
j’recompte mes li-sses quand, j’aurai quarante ans
jeune et grand, je ne manque pas de cran
tu me jalouses, t’as les crocs
a l’écran, tout le monde est à l’écoute
je resserre l’écrou et je vésqui les coups
tu te dis qu’il est cool ce type et qu’il écoule des disques
après les cours, se pousse à faire des couplets
j’vais t’-ssaillir de rimes comme ce conor mcgregor
pas finir dans l’oubli, j’veux d’une vie qu’honore ma mémoire
toucher le plafond divin, enfermé comme platon j’y viens
a qui donne-t-on la faute, j’sais pas
j’me débats comme un lémurien (ah ouais)
[outro]
ce type il est trash, te dis-tu, n’a pas de pudeur
il doit surement relooker les femmes, je le sais à vue d’oeil
quand on aime on compte pas, frérot nous on n’a pas vu l’heure
vu leur gabarit, ils se contraignent à nous appeler furher
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