r.e.d.k. - simple constat 7 lyrics
[paroles de “simple constat 7”]
[intro]
o+o+k, hé
skenawin music
[couplet 1]
j’ai passé l’âge de m’dire : “il faut qu’ça pète”
ils voudraient qu’j’la baisse et, du coup, j’hoche la tête
zéro tolérance pour ceux qui pompent la tech’
j’fais des intolérances à c’que l’époque accepte
j’viens de l’époque poste+cassette
où, si tu bég+yes en freestyle, t’es juste une grosse tapette
j’suis rentré dans l’game en mode short/claquettes
t’es prévеnu et l’bienvenu dans l'”simplе constat 7″
j’rappe, t’as l’impression qu’je pars en guerre
j’prends ça au sérieux, y’a rien de marrant, frère
j’vois le rap comme un art à part entière
pour moi, c’est comme le vélo ; prends le bus si tu sais pas en faire
pas d’longues études, j’ai stoppé à temps
pour être diplômé de l’école du micro d’argent
un point commun avec iam : j’te l’explique en chanson
on est nés sous la même étoile : celle de la ligue des champions
et j’ai débité pour aller froisser des compil’
et j’ai débuté sur la face b comme chill
les yeux rouges vifs que toutes les écuries craignent
quand tu m’demandes où j’vis : dans la même ville que shurik’n
et vu qu’hier est plus loin que demain
le troisième œil surveille mes arrières quand je crache le venin
j’me voyais à beach galawa avec une testarossa
j’écoutais la cliqua, daddy lord c, les textes de rocca
mystik, et j’voulais être le chef, bref, j’fais trop d’tueries à la fois
comme les frères de ff, entre la furie et la foi
j’aime pas m’étendre, j’leur fais archi mal, j’fusille
cherche vraiment pas à comprendre, c’est d’la marginale musique
dans le bocal, j’ai des alligators
j’ai lié nos rimes avec nos modes de vies hardcore
et, même si ça m’arrange, jamais j’croque avec les faux
j’écris mes textes sur mes phalanges et je boxe avec les mots
entouré qu’de gars solides
car plus rien n’va si les gars qui font cet art se niquent
et puis j’te fais légèrement goûter à mon flow, tu trouveras ça sans doute stupide
pas b’soin d’en faire des tonnes, d’en boire des litres, quelques gouttes suffisent
la puissance vient du nord, ça te paraît louche ?
sale vie infecte, le monde est stone, d’mande à carré rouge
j’suis un psychopathe de la rime (le roi)
mais nul besoin de me faire suivre tant qu’j’suis follow par les psy 4 de ma ville
j’éclaire ma ville, j’suis une menace terrible
issus des ghettos fabuleux, on a fait d’nos bâtiments des halls cains+ri’
comme l’indis, et t’as pigé, que sale quand je crache
si t’es dj, tu s’ras validé qu’si y’a l’style dans tes scratchs
[refrain : sample]
c’est du classique sans fioriture
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique, ouais
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique sans fioriture
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique, ouais
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
[couplet 2]
les connexions sont screds car faut mettre de la ruse
pour devenir un sage poète de la rue
et crois pas qu’j’avance à tâtons comme un père qui rentre de gav
j’écris des lettres à macron avec l’impertinence de fabe
et c’est pour ceux qui bougent, les anti+poucaves
c’est pour tous nos bougs, tous ceux qui se sentent intouchables
tous soudés car c’est mieux si on s’entraide, sans doute
j’suis plus rap qu’r&b, beaucoup plus 113 que 112
la prod’ est tellement lourde que, par amour, j’pourrais la crosser
faux mc, si tu m’vois dans ton ch’min, wutsi n’drongozé
évite de faire le caïd, surtout si t’es pas équipé
le micro, c’est comme le calibre : si tu l’sors, faut pas hésiter
écoutez, ça fait “cl!ck+cl!ck”, j’ai plus de balle, c’est dead
mieux vaut être tué par un flic plutôt qu’buté par un frère
c’est mon choix, de quoi j’me mêle ?
j’préfère mourir d’une balle d’un flic plutôt qu’me prendre deux balles de neg’
tirer par amour ou jalousie
j’ai mal au mic quand j’entends le niveau, j’hallucine
mais le combat continue, j’en fais mon idéal
hostile à l’article l.432, j’applique la loi du point final
ouais, tu m’connais quand y’a embrouille
mon expression devient directe car mon esprit part en couilles
j’suis dans de drôles d’histoires, négro, je trouve pas ça malsain
selon les khos qui squattent les halls, je suis un assassin
leurs politiques, j’sais pas ce qu’elles valent
du coup, je m’en moque, demande au doc gynéco, que dalle
jamais faire confiance à la parole du président, tout reste à vérifier
car j’sais pas si c’tho+my’ m’dira la vérité
eh, eh, faut qu’ces bâtards atterrissent
j’suis un rappeur aguerri qui a le hardcore à kery
sale à la nubi, du coup, les trois+quarts se font harakiri
j’ai la rage comme faf et arkana keny
j’fais mon job à plein temps pour qu’ça tourne mieux
mais qu’est+ce, mais qu’est+ce qu’on attend pour foutre le feu?
quarante degrés celsius, je leur ai mis la fièvre
sous+coté, j’suis un roi sans couronne, j’ai pas gobé la fève
j’s’rai pas diamant : ça, je l’savais
gros, j’suis tellement lourd qu’les spécialistes savent pas où m’caser
j’voulais mettre ma rime sur les ondes et puis tous les voir ramper
puis mettre paris sous les bombes, que le hip+hop repose en paix
eh, mc, j’ai pas fini, pourquoi tu t’couches pare+terre ?
j’viens faire des bisous baveux avec la langue de molière
j’suis pas d’humeur donc j’laisse courir la rumeur selon laquelle
j’suis un sniper qui tire à balles réelles (baow)
j’écris dans ma tête et peu importe le thème
j’imagine les mots et mets le fond et la forme en tandem
un gars à la hauteur, c’est rare comme une radio qui joue le jeu
vieux, le temps passe et passe et passe, toujours pas mieux que couvre+feu (t’entends pas ou quoi ?)
on parle à la ghetto youth, râle à la ghetto youth
elle, chienne qu’on malmène à la ghetto youth
je dis rien et c’est ça qui les détruit
car le silence n’est pas un oubli mais le meilleur des mépris
eh ouais, mon son te met la pression donc ton mauvais œil me fixe
à ce problème, j’trouverai solution, t’inquiète, quelles que soient les x
j’garde la mentale d’un buteur
pour pas être classé malcolm x dans l’alphabet mais être un king comme martin luther
et t’es jamais déçu, eh ouais, poto, j’suis loin
si loin que je n’entends même plus l’instru’
mais j’suis jamais a capella, d’mande à dinos, j’les laisse en pleurs
quand j’prends l’micro, les mc flippent, j’rappe sur les battements de leur cœur
[refrain : sample]
c’est du classique sans fioriture
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique, ouais
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique sans fioriture
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
c’est du classique, ouais
“culture urbaine” : mon cul, mon art se nomme “r+a+p”
[outro]
r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p
r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p
r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p
r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p, r+a+p
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