rowtag, lucio bukowski & oster lapwass - n°28012025 lyrics
[paroles de “n°28012025”]
[intro]
euh voilà, les grands animaux, y’avait des grands euh, y’avait des grands pumas, y’avait des grands loups, y’avait des grands tigres, voilà tout était plus grand mais en fin de compte c’était les animaux qui existent aujourd’hui, ils étaient déjà là mais en plus grands, c’est tout. les dinosaures et tout, ça c’est, ça c’est des faux euh, c’est des, c’est des faux squelettes, c’est, c’est du n’importe quoi…
[couplet 1 : rowtag]
j’vesqui la bac normal j’ai la vision, l’coup d’rein d’fatar
j’taffe pour les miens, j’compte pas l’effort, serein, j’suis dans l’radar
j’maniе la boite, le pera faut l’plastiquеr
mental d’ali la pointe, tiens, une ligne à mastiquer
ma dar s’bute pour un smic, le zin fume pour l’inspi, rien qui bouge
c’bourgeois lui m’voit comme un pitre, on parle d’avenir entouré d’murs, de quoi manquer d’air
j’espère l’espoir, il m’ment pas, c’est comme pour mokeddem
j’la baise ta loi qui vire des gosses en plein hiver, s’il faut j’fais livrer
m’attends pas j’gratte, kick sur playlist frère
j’ai la tactique pour les faire taire
de quoi liquider, le r oster, de quoi t’terrifier
j’aime pas ta tête cramée qui parle fort au bigo
tu sens l’traître comme figo
j’vais pas t’rater, pas d’partie, pas d’pyros
j’ai des zins, il doit en rester plus qu’des os
arrête de jurer sur la tête des autres
[couplet 2 : lucio bukowski]
j’claque la portière de la caisse, j’suis pas rentré dans la pièce
que le couplet est déjà prêt, que le tonic est déjà frais
après la fête, j’fais l’appel, transforme l’affaire en sahel
la concu c’est des laquets, ma conclu c’est des rappels
huit cents titres, pas de label, ni auréole au d’ssus de ma tête
j’les fait fondre, j’racle la teille, crache mon argot sur babel
c’est qu’des luttes sur des patterns, baise ces fils de machiavel
ta pouffiasse crée des contenus, les miens sauvent c’est pas pareil
niquez vos mères, elles ont baclé, n’ont su faire que des caïn
mes rimes tombent toujours lestées, comme des lardus en grappin
bats les couilles de vos délires postmodernes de vos talpins
vous vous aimez plus que tout, j’fais ça pour les moins que rien
j’vis dans l’brasier de l’action, ils matent la houle par l’écoutille
pas grand chose dans l’carafon, c’est que des pook’ pas des goatees
après avoir gobé l’hameçon, se confortent dans les frottis
si j’leur parle d’aliénation, ils cherchent le groupe sur spoti
[outro]
comme je l’ai dit au début, tout ça c’est euh, on peut pas avoir des corps immenses avec un petit cou, une petite tête, franchement quand on y pense c’est euh, c’est pas, c’est impossible, un animal il peut pas vivre comme ça, c’est débile quoi, c’est même débile, débile d’y croire, débile d’y croire, débile d’y croire, débile d’y croire…
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