sdm - merci lyrics
[paroles de “merci”]
[intro]
ocho (ocho, ocho)
cent moins ocho (cent moins ocho, ocho)
[couplet 1]
mon cœur est noir, j’suis né un jour où il neigeait (c’est réel), on est noir, donc on les gêne (gros, c’est réel)
un fils de pute de prof’ a voulu m’faire croire que moi, j’avais du gorille dans les gènes (qu’il baise sa mère la pute)
aujourd’hui, j’remplis des salles en léger (ouh, ouh), d’après eux, j’étais voué à l’échec
ils m’ont mis tout en bas d’leur éch+lle, m’ont fait croire qu’ma cité, j’peux pas y échapper (gros, c’est réel)
chez rolex, chez patek, chez audemars, calibré sur paname comme si j’étais omar (buh)
mercedes, les feux xénon, j’ai r’tourné l’zénith (vroum, vroum), pourtant, eux, ils m’disaient : “gros, arrête, c’est nul”
mais moi, j’leur disais “non”, qu’il faut qu’j’y arrive, j’fais crier la foule comme si j’étais zidane (gros, c’est réel)
[pont]
à ma mère, j’ai promis le confort, j’ai promis qu’la belle vie, on aura (écoute, écoute)
, trop d’choses dans la tête qu’j’ai jamais dit à l’oral (écoute, écoute)
plan bien élaboré, j’sais faire autre chose que découper des barrettes
on attend juste que vegas sorte d’maison d’arrêt, après ça, on continue d’vendre pour se barrer (c’est réel)
[refrain]
l’ange de gauche me fait vivre une baisse sur l’moral (c’est réel)
j’arrive pas à sortir tout c’que j’ai dans ma tête à l’oral, à la fin, j’sens qu’cette vie m’aura (réel)
la tête en l’air, j’fais croire aux ients+cli qu’ma beuh est médicinale
j’me demande “quelle est ma destinée ?”, tu perds ton temps en achetant une festina (ouh)
le game à ma merci (à ma merci), le ciel, je remercie (ah ouais, je remercie)
j’suis en bas du binks, garé dans une benz, un gros moteur v6 (vroum, vroum, vroum)
la tête en l’air, j’fais croire aux ients+ci qu’ma beuh est médicinale, j’me demande “quelle est ma destinée ?”
[couplet 2]
on a plusieurs fois frôlé la taule (réel), menacé d’nous expulser d’la piaule (ouh)
des rdv qui servent à tchi, qu’on tournait comme des plots à deux+trois sur un plat (buh)
j’ai cédé quand les grands nous ramenaient des plav’ (c’est réel), la caissière ouvre la caisse, on lui montrait le pompe (gros, c’est réel)
j’ai zoné et galéré pendant une plombe (gros, c’est réel), j’ai vu des mecs fumer à six sur un pli (gros, c’est réel)
maintenant, la poche est remplie, j’suis certifié sur l’appli’, j’donne de l’espoir aux p’tits (ouh)
une p’tite paire de cartier chez panam’optic, aujourd’hui, une pute peut t’sortir un outil
j’regarde vers l’avant, nique la vie d’avant (ouh), j’suis pas tout seul, j’ai la famille derrière moi
on regarde devant, c’est bien si ça vend (le gang à la vie, à la mort), merci le gang d’être toujours là derrière moi
[refrain]
l’ange de gauche me fait vivre une baisse sur l’moral (c’est réel)
j’arrive pas à sortir tout c’que j’ai dans ma tête à l’oral, à la fin, j’sens qu’cette vie m’aura (réel)
la tête en l’air, j’fais croire aux ients+cli qu’ma beuh est médicinale
j’me demande “quelle est ma destinée ?”, tu perds ton temps en achetant une festina (ouh)
le game à ma merci (à ma merci), le ciel, je remercie (ah ouais, je remercie)
j’suis en bas du binks, garé dans une benz, un gros moteur v6 (vroum, vroum, vroum)
la tête en l’air, j’fais croire aux ients+ci qu’ma beuh est médicinale, j’me demande : “quelle est ma destinée ?”
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