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seppuku lyrical - on dit qu'c'est heb lyrics

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on dit qu’c’est heb

-son i ‘’emanc-p-tion’’

j’suis c’tout maigre qui traine sa carc-sse pour ces bras c-ssés
sans qu’ça l’trac-sse sans même qu’il pense à s’c-sser
jamais l-ssé des 5 à 7 pourtant du taf il y en a plus qu’-ssez
seul avec sa c-ssette car y a trop de zincs c-ssés
moi employé du mois, comme chaque soir j’opère
j’fais ma p’t-te routine ma p’t-te ronde mais cette fois j’repère
a une table ronde les pères de l’entreprise qui fait des pertes
mais imperturbable est le big boss face à ses compères
reste cool tempère, il a la solution à l’équation
et la résolution réside dans l’éducation
soit la manipulation d’l’information
au menu on nous a servi notre cervelle bouillie
c’qui fait monter les actions
mais qui suis-je ? où suis-je ? ou bien même qu’essuie-je ?
j’aurais beau récurer, frotter, ce sera toujours incruster de suie
faut que je me tire de suite
faut que j’puisse prendre la fuite
il faut que je débroussaille mon propre chemin et ne pas suivre la-sui
faut faire vite mais avec ces ennuis, impossible
il faut que je puisse m’échapper cette nuit, j’suis pris pour cible
j’cours, j’esquive, j’évite mais ça fait pas mal de ‘faut’
faute de quoi je me retrouverai prisonnier pour le moindre défaut
la pression nait, peur d’être pris au piège
ne serait-ce qu’être surpris d’zoner
l’alarme sera à tout prix sonnée
il s’rai temps d’ouvrir les paupières
et d’voir qu’c’n’était pas propre hier
et qu’aujourd’hui cela empirera et c’n’est pas une pauvre prière
qui s’ra appropriée, à propos plier bagage est imminent
rentre dans la bagarre ne soit pas timide, non
voici un monde étrange qui entraine un objectif
c’est toi qui détiens la manette pour défendre les autres chétifs

-son ii ‘’fuite de l’enclos’’

a présent j’suis leur ennemi public numéro 1
cela fait-il de moi un homme que l’on nomme héros hein ?
ma tête est placardée j’fais gaffe car dès j’m’élève dans les levels
j’me frotte qu’à des emmerdes, oh merde ça va barder
les bâtards tiennent toujours la filature
attendant ma prochaine rature
on verra qui durera qui sera à la dure
j’veux rejoindre dame nature avant qu’on m’enterre
j’veux m’échapper loin d’ici avant qu’on m’enferme
mais l’étau s’ressert, donc vaudrait mieux agir dans la pénombre
n’pourrait-on pas juste vivre dans la paix, non ?
vu qu’c’n’est pas l’cas j’mets au jus mes camarades en rade
tandis qu’les cameras me braquent
même si pour me calmer par le bras ils ont la clé
alors autant leur faire des tours
leur faire tourner la tête, les embobiner ça vaut l’détour
tour de manège et puis on fait péter leurs méninges
un bon coup d’ménage après avec les frères, on déménage
car je n’peux suivre leurs campagnes
ceux qui captent m’accompagnent
et on s’arrête que lorsqu’on est en panne
donc j’cours toujours en route pour trouver l’issue d’secours
partout j’me fais sé-cour, les bombes grondent, font leurs secousses
là où j’suis c’est p-ssé court
du coup j’me secoue mais fait attention aux slogs et au sligs
soit les bulldogs et les flics, ils s’liguent, se tiennent à l’affut
te tuent si tu fais un tas d’raffuts
ils raffolent de rafales de fusils, t’as intérêt d’être trapus
ou d’attraper la discrétion pour entrevoir la porte de sortie
loin des orties, des sortes d’idées sordides de c’t’usine
qu’on sorte d’ici illico presto, qu’on s’presse tôt big boss est méphisto
méfie-toi il veut ta peau pour augmenter les rentes
cl-sser les rangs, tête bornée, esprit non tolérant
et tel l’errant que j’suis il m’reste un dernier pas à faire
pour ves-qui les pare-feu dans l’parfum de l’air causé par l’feu
des balles, des mines qu’explosent
surveillé par les sentinelles, rayons lasers et caméras qu’exposent
ni vu ni connu l’horizon se rapproche de la frontière du rempart
a la limite des confins enfin j’en pars
au moment fatidique un peu fatigué
normal vu l’temps qu’on m’fait courir à présent intrigué
par la suite des évènements et de ce qui m’attend
mais maint’nant je suis bien loin des yeux qui matent tant

-skit i ‘’hors-jeu 1’’

de retour à la réalité
c’est plus une fiction mais on vit les mêmes dualités
un système oppressant trop pressé c’est ap récent
ça en devient stressant c’est très sanglant et ce depuis qu’on a 13 ans
a présent c’est pire ouais parc’qu’on y participe
la solution reste la même faudrait qu’on parte d’ici
en vrai avec oddworld il y a trop de similitudes
observe par toi-même et tu verras que j’n’ai pas tort si tu -ssimile l’étude
on est l’esclave moderne, ça reste mental, que ce soit rentable
si tu t’exclames ou si tu t’esclaffes, modère
constamment surveillés pour nous maintenir dans l’enclos
pourquoi crois-tu que sur ton contrat de taf il y ait tant de closes
attends, j’cause mais c’n’est pas l’heure de ma pause
ils sont à ma recherche parc’que je suis loin de c’que propose
tous ces politiques véreux, nous verrons d’autres polémiques
sans le moindre pique vers eux et nous paierons plein pot les micmacs
prends tes clics et claques
mais plus personne n’se connait une fois que leurs portes se claques
a force de claques tous désorienté péchant dans l’faux
comme celui qui croit bien agir en s’empêchant tant d’fautes
isolés les muets n’entendent et les sourds s’taisent
j’dis pas que j’ai raison j’me base sur mes sources, thèses
déceptions sur déceptions bien sûr pas d’exceptions
babylone est un redoutable maître dans l’art de l’inception
le choix n’est qu’une sale façade entre fait ci ou fait ça
qu’est c’tu veux qu’je f-sse face à ça, facile j’m’efface fissa

-son iii ‘’ prendre racine’’

ooh, enfin j’arrive au deu-blé
même si dans les poches je n’ai pas beaucoup de blés
d’emblée il faut que je change ce mental de merde
car autour de moi il y a qu’du vert et je suis loin d’ces mois d’hiver
c’est d’enfer alors pourquoi m’en faire
fermement m’enfermer dans cette ferme pourrait bien l’faire
j’suis refait en plus à l’air frais
un rêve qu’à l’air vrai, j’n’vois aucune galère frère
comment se fait-il qu’on soit resté dans ce genre d’endroit
sur c’bitume où les hommes s’prétendent droits
s’la pétant rois et putain qu’t’en vois
mais avec toutes ces couleurs pures j’suis sûr de rester sans voix
il y a ma famille native et mes racines sur cette terre nature
ce qui de plus m’attire, une esquisse s’exhibe sur ma figure
m’as-tu vu ? pour moi c’est tout vu j’bouge plus
c’est de bonne augure et l’effet m’a beaucoup plût
le soleil en plus mais que demander d’autre
un ciel bleu, l’océan, les fruits allez à la votre
les nus pieds j’frôle le sol, le champ, les zozios chantent
et l’effluve de l’état sauvage est alléchant
le bruit des fleuves ou des cascades saccadées
partir avec sac à dos et s’y accommoder
moi j’appelle ça un cadeau
une perspective que je préfère de loin plus qu’à d’autres
et là j’cours jusqu’à l’eau ou bien j’escalade
j’fais escale à la façade
mais maladroit j’m’esquinte là la face ahhh

au réveil un peu tourmenté normal j’ai bien comaté
on m’demande comment t’es ?
j’me pose la même question, j’suis comme hanté
possédé ou encore ensorcelé
j’ai plus l’contrôle de mon corps l’issue d’mon sort est scellée
et c’est là que grand visage le vieux sage du village
me dévisage avec mépris presque
j’sais pas c’que l’vieux me veux mes ses yeux m’oppriment, m’pressent
vu qu’j’suis égaré dans mon regard
prend mon âme, la sépare d’mon corps et la répare
on parle de rien du tout ou plutôt de tout et d’rien
mais surtout qu’les visions malsaines des villes envahissaient tout l’terrain
terr-ssant le sens moral enterrant les codes
et que certains se laissent volontairement tirer par la corde
encore une fois que ceci ne dataient pas d’la veille
me disant qu’on n’se rappelle pas forcement du rêve fait au réveil
mais qu’en plus de nous les bêtes sauvages
et richesses naturelles sont du voyage
on s’dénature à en être superficiel ou bien matérialiste
j’matérialise que les pensées de toutes villes impérialistes
dép-ssent ce qui est réaliste
alors grand visage me charge d’une tâche
vu qu’j’suis l’seul à m’être échappé de cet etat d’taches
là j’ai compris il veut qu’on s’fâche
on doit y faire face d’t’façon à part ça qu’est qu’tu veux qu’on f-sse
m’enseigne les valeurs des anciens au sein même des terres hostiles
que j’sois fort et que j’m’en sorte du style sauf et saint
que j’n’oublie pas les potes qui souffrent
pourvu qu’ils soufflent, je leur souhaite à tous que les portes s’ouvrent enfin

une fois avoir évité les étales, achevé les étapes
après avoir bravé la faune féroce dans tous ces états
grand visage me communique les forces les plus ancestrales
tous les liens fondamentaux de notre base astrale
les coutumes b-st–les et les réflexes spirituels
tous les rites et les risques qui chez nous est habituel
ça y est, il est temps d’engager l’duel d’récupérer notre dû
de leur faire le rapport de notre compte rendu
c’est alors que je dois rebrousser ch’min
reprendre les jeux d’mains, jeu d’vilains
montrer l’issue d’la vérité car le jeune en vit loin
et l’initiation acquise m’en donne le pouvoir
il est temps d’rendre la monnaie d’la pièce et même un pourboire
rien que pour voir la tête que ce gros con a pour moi
je serai pour lui ce vampire, cette sangsue, ce poux noir
shrykull continue l’odyssée et puis même si l’autre il sait
j’viens dans le lot tisser ma toile pour dire qu’c’est
le moment de tout éradiquer
et on dira en tant que radical qu’on ira t’niquer

-son iv ‘’le retour du bâtard’’

arrière marche en retour
allons tout refaire à l’envers
plus balaises sont les barrières
et moins à l’aise je p-sserai au travers
je dois tout d’même retourner sur mes pas
je dois toucher à mon but donc ta sale main sur moi tu mets pas
et ça m’aide pas leurs propagandes
donc j’mettrai pas d’gants
a peine rentré vas-t’en mais mon poste reste vacant
de retour de vacance j’suis rechargé à bloc
une nouvelle ère s’impose, on a à faire pour changer d’époque
rêve de tout révoquer ou bien de tout disloquer
suis-moi en espérant maintenant que tous disent ok
les niveaux d’plus en plus durs et les ennemis d’plus en plus rudes
aucune raison que cela dure même si ils envahissent les rues de tout-par
ils ont placé les charges pour qu’tout parte
demi-tour, pas question, pas moyen, surtout pas
c’est le flip, big boss panique il voit couler son t-tanic
et ouais heb est là et le p’t-t te nique
ce qui te dit de renforcer les barrages car je fais sauter les portes
et à chaque p-ssage beaucoup de frères se téléportent
tes unités s’amoindrissent et toi tu gères de moins en moins ta matrice
et de loin ça m’attriste
triste histoire, elle n’reste pas moins qu’une fiction
mais qui n’a pas rêvé de révolution juste pour la moindre friction
qu’ils se retrouvent au pied du mur
eux qui pensaient frôler les astres
que ceux qui nous regardent de haut
descendent d’leur nuage dans leur désastre
qu’ils mettent pied à terre car ils ne volent pas très haut
malgré leur hauteur restent terre à terre
donc dois-je attendre qu’ils me descendent ?
non, allons gravir les échelons
mais p’t’être qu’ils ont -ssez mérité qu’on les sèche ? non
qu’on les f-sse iech ? non pour délit d’facies ? non
laissez-moi donc opérer à la magie pour leur faire faire une sieste longue
tout près de leur siège j’longe
et non dans leurs pièges j’plonge
j’créé leur faillite et pour la moindre pièce s’rongent
c’est sur les murs qu’nous p-sserons voilà ma détermination
en plus d’leurs entourloupes ils loupent toutes leurs vaines actions
d’ailleurs j’fausse leurs plans, la preuve ils restent en planque
un véritable jeu qui devient réel en l’samplant
bon, revenons-en à nos moutons
les charges explosives n’attendent plus qu’la pression d’un bouton
j’infiltre les plus hauts étages j’me tape un stage
j’me faufile dans ce détestable etat pas stable
sympa, mais l’impression qu’ils n’lâcheront pas l’steak
veulent nous tuer comme les aztèques qu’ce soit bien laz-deg
mais rien à battre, j’pars pas pour l’abattoir
j’suis pas un rat d’laboratoire
j’n’ai qu’un cerveau doté d’un pouvoir oratoire
et pas de gloire à toi, toi qui veux nous mettre à genoux (en joug)
et ne croit surtout pas que l’on va tendre notre joue
on n’joue plus, tout près d’mon but on m’trouve plus
l’avis d’recherche s’accentue, la rançon beaucoup plus
et nous voilà à la mission finale
et tout est engagé pour que ça finisse mal

-skit ii ‘’hors-jeu 2’’

malgré les bâtons dans les roue personne n’peut lé-rou
j’pars sur les chapeaux de roue, le diable a sa peau rouge
j’dis pas ça pour vous mais pour eux je n’suis qu’un apache
juste parc’que j’n’suis pas à la page de leur histoire de ravage de lavage
-ssez d’donner le bout d’bois pour m’faire battre
cette fois j’le garde et c’est ton cul j’crois qui s’ra rougeâtre
de même j’ai hâte d’être à cet acte
voir comment tu t’débats pour toi je crois ne pas avoir -ssez d’tact
tu t’touches toi, on n’restera pas cloitrer dans ton habitacle
on accroit les habiles tacles aux stylos bic, tags
d’autres en parallèle montent des biz en solo ou en équipe
l’union fait la force du moment qu’on est quitte
quoi qu’il arrive c’est une question de liquide
et lorsque t’es a sec, tu sais le boss c’est qui
et puis même qui possède qui
non, moi j’appartiens à personne
j’me dois de rester debout jusqu’à c’que l’heure de ma perte sonne
mais tout d’même j’me suis fixé une mission
la révision des rémissions
aussi fausse que la vision d’leurs émissions
et nous cherchons le peu de vérité lorsque nous fixons
parc’qu’il y a trop de fiction dans notre réalité

-son v ‘’extermination’’

dans c’jeu mon nom est devenu dangereux
y avait à faire ce qu’il y avait à faire y avait pas d’autres enjeux
il y a cette porte rentrant je me retrouve dans la salle des machines
j’vais mettre les pleins gaz pour tout faire péter, t’imagine
cette image je les rêvée tant d’fois
la plupart du temps on s’y contente d’croire mais là content d’voir
réaliser parfaitement tous mes vœux
j’actionne enfin la manette avec la force de mes vieux
qui m’ont soutenu dans ce pénible périple
dans cette fourmilière où trop pour un penny périssent
et oui c’est pourri terrible
j’dégage à présent de babylone ou d’rupture farm
j’engage une rupture ferme mais là que des durs fars
eblouissants m’aveuglent, des coups à la tête m’-ssomment
putain mais qu’est-ce qu’ils me veulent
p’t’être que je règle la somme
mais laquelle ?
j’ouvre les yeux, étourdit
en tout sur j’vais pas tout t’dire
ainsi pour eux j’suis l’terroriste le pirate
et vu qu’ils ont ma chair ça augmente les prix grave
big boss surpris rage que j’ébranle tous ses plans tout au long du voyage
de long en large, à l’malmener dans les virages
en marge du système mon exécution est proche
et c’est dans ce moment même, où tu sais qui sont les proches
ou du moins qui s’en rapprochent
je suis sur le point de dire mes derniers mots
en gardant la mine haute

juste au-dessus du hachoir
j’entends seulement les rires des sbires qui me tiennent le crachoir
il aurait mieux fallu que je me cache c’soir
j’ai lâché les potes j’leur ai dit à chacun c-sse toi
big boss prend pied à me voir me déchiqueter
j’suis de la viande avariée depuis longtemps étiquetée

et c’est là que de nouveau grand visage
apparait et hop on s’évapore dans le paysage
on va pas tortiller du cul pour chier droit
j’préfère rester chez moi
qu’on ait les doigts d’pied en éventail
c’est c’que je souhaite moi
ouais j’aspire à la paix
et fière que mes frères soient présent à l’appel

-skit iii ‘’hors-jeu 3’’

j’m’accorde très peu d’rêves beaucoup trop d’règles
j’suis trop binaire c’est l’tout ou rien sur c’que je voudrais
c’est un toutou, chien qu’il voulait
c’est pas comme ça qu’j’évoluerai
malgré ma vision en noir et blanc et mes oreilles
et vu qu’j’aurai laissé la laisse
c’est comme tel que je serai traqué puis matraqué
donc sur ça j’peux pas les laisser trinquer
prendre de l’avance sur le train à quai
ou accepter les contraintes aux quelles on est sans cesse de raquer
choix impossible ras l’bol de ce raquette à l’amiable
obligé d’être aimable alors qu’on t’retire le pain que t’as mis à table
et puis y a ta situation qui dégringole
alors désinvolte on s’en prend à quiconque en symbole de notre révolte
trop pas, c’est juste les tron-pa
et surtout ne tombe pas à la tentation ne pas succomber
c’n’est qu’un combat hit combo d’coups bas
gaffe-fait à la chute en bas
tu t’relèveras seulement si t’as su tomber
ensuite on s’lèvera
chacun son temps mais on n’baisse pas les bras
tandis qu’ces cons conspirent toujours de jour en jour à parler bas
on tient l’opposition la suite au prochain épisode
on maintient l’exode



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