shado (fra) - deuxième atome lyrics
c’est la fin des idées noires
c’que fait l’argent c’est qu’il sépare
faut qu’on décime l’écart
j’dessine les 4 éléments, les signes des cartes
je faisais qu’tiser, boire
à ne pas l’faire, j’ai pas hésité c’soir
on choisit c’qu’on a décidé d’voir
les signe d’la désespérance, les signes d’espoir
j’suis pas resté dans cette odeur
j’suis comme esteban dans les cités d’or
7 ans d’art
le silence c’est comme le rеspect, et la foi, ça t’es d’or
ils ont tout cassé t’adhèrеs
l’homme va y rester il fait une fixette, il dort
ils m’disent qu’ils m’aiment j’dis “c’est+à+dire ?”
tu détestais, il a percé t’adores
j’avance et j’attends, j’ai l’talent, faut taffer
mais avant j’ai balancé ma chance d’y arriver
carences décadentes, mes parents, aux aguets
mais j’arrange les balances légalement tarifé
ça vend des cadences et ça pense au papier
satan fait sa danse, pré+ado scarifié
evidemment ouais ça prend des amendes au quartier
c’est navrant, d’débats en débats faut clarifier
des diamants, j’vise pour dormir en f’sant la plata
j’laisse l’érudit, développer des nouveaux katas
j’avance mais plus j’avance plus j’ressemble à papa
l’être humain, à lui+même est fatal
on s’tue, depuis l’aube des temps
ça débarque dans la nu+it ça t’hôte des camps
au stud, comme un pauv’ des champs
l’enfer je l’ai vu, ça m’dit faut t’détendre
dans la drogue j’fais des fortes dépenses
j’m’en fous d’em’rata, c’que j’veux c’est la paix
le m+euss et la baie, je m’apporte des chances, j’me sens mieux sous les radars, oui monsieur l’abbé
à la prod, absaroth est grand, j’suis dans votre écran, tout en bas c’est la merde
j’fais d’la d dans ma prog, y’a la mort d’mes pensées, quand la corde elle t’prend, faut embrasser la mer
depuis qu’j’suis tit+pe je n’sens que la pression
j’vois l’oasis au loin j’sais qu’c’est qu’une autre vision
j’les y vois charmés par leurs millions d’impressions
j’ai tourné en rond à trop viser l’horizon
j’ai rien fait d’impressionnant
j’suis en indé, esquinté d’leur raisonnement
si j’perds, ça : questionnement
c’est mon rrain+té, tu perçois le rayonnement
c’est la fin des idées noires
c’que fait l’argent c’est qu’il sépare
faut qu’on décime l’écart
j’dessine les 4 éléments, les signes des cartes
je faisais qu’tiser, boire
à ne pas l’faire, j’ai pas hésité c’soir
on choisit c’qu’on a décidé d’voir
les signe d’la désespérance, les signes d’espoir
j’suis pas resté dans cette odeur
j’suis comme esteban dans les cités d’or
7 ans d’art
le silence c’est comme le respect, et la foi, ça t’es d’or
ils ont tout cassé t’adhères
l’homme va y rester il fait une fixette, il dort
ils m’disent qu’ils m’aiment j’dis “c’est+à+dire ?”
tu détestais, il a percé t’adores
la tise et la drogue f’ront bientôt partie du passé
ça commence à s’tasser, mon av’nir est tracé
l’esprit est cassé, d’mon attitude, lassé
faut qu’j’arrête de m’gazer, mes souvenirs, d’effacer
j’les baise sans contraceptif
les requins se la conte+ra
j’suis face à leur contrat : sceptique
la télé qui s’propage, j’vois toute la haine de ce monde, qu’on montre à ces p’tits
l’issue, c’est par là qu’j’vais, peu importe si j’arrive au bout seul
j’sens un goût sale, devines who’s back, j’les écoute pas, j’suis sur ma route car j’ai ma boussole
yeux rouge écarlate, et f+ck un porc c’est du mal qu’ils nous veulent
le teint tout pâle j’sors des sous+sols, j’veux les sous d’phaal j’leur mets des sous+papes, ça déboussole
j’ai les bateaux
monte à bord, rejoins les mat’lots
à ton équipages : des hématomes
tout s’est crée au deuxième atome
puis apple a croqué dans la pomme
c’est des fraudes ils font les grands c’est des cadums, trop chaud j’les carbonise
moi j’fais des albums, j’suis solide comme atom, pas d’cadeau, non gros faut qu’j’les atomise
c’est la fin des idées noires
c’que fait l’argent c’est qu’il sépare
faut qu’on décime l’écart
j’dessine les 4 éléments, les signes des cartes
je faisais qu’tiser, boire
à ne pas l’faire, j’ai pas hésité c’soir
on choisit c’qu’on a décidé d’voir
les signe d’la désespérance, les signes d’espoir
j’suis pas resté dans cette odeur
j’suis comme esteban dans les cités d’or
7 ans d’art
le silence c’est comme le respect, et la foi, ça t’es d’or
ils ont tout cassé t’adhères
l’homme va y rester il fait une fixette, il dort
ils m’disent qu’ils m’aiment j’dis “c’est+à+dire ?
tu détestais, il a percé t’adores, seul je m’en suis sorti mais c’était dur
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