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sixth - 24 décembre lyrics

sixth sur la prod, j’reviens m’confesser
j’suis blessé ou oppressé par le seum que j’veux compresser et délaisser
le cœur, noirci par les sommes que j’ai encaissé
lois transgressées, mains tachées par le sang, j’en ai vu passer par le passé
j’suis, devenu trop méchant et j’déambule tard le soir
bercé par la lune, j’écris des poèmes grave noirs
au fond j’aime élune et comme malorne j’ai pas de pèrе
mélange euphon pour ma lean, mes cornеs qui poussent, ça prospère
j’déverse ma haine dans mes lignes, j’me dose à mort et j’espère, que mes gars passeront bien la nuit
ouais j’ai des frères qu’aiment trop s’perdre
mega teh pour l’insomnie devant les bleus, mes khos s’taisent
dehors l’inspecteur envie les lossa qui font trop d’espèces
ils blessent sans s’apercevoir, tout ça rend nos cœurs noirs
ils sont trop gazés pour le voir, comment leur en vouloir ?
y’avait trop de fumée dans le square, trop erré, vu que peiné
j’voulais crever tant de schtars, trop de fumée, trop de fumée, trop fumée
et j’l’inhale, trop de fumée vu que j’ai mal
j’l’a voit plus qu’en digital, trop de péchés pour les tales
souvent on a agi mal, trop de pensées à vider
j’crache, vise ses amygdales, trop de te+trais, peu de re+fré, donc plus trop amical
mais comment m’en vouloir ?
depuis que j’ai plus de famille, moi j’suis attiré par le noir
j’ai connu la famine depuis j’débite des pochtards
sous la pluie avec lamine le soir, vi+sser un geush tard, le soir vesqui un vieux schtar
24 décembre…
seul dans ma chambre, une teille j’ai vidé je laisse des cendres
j’ai le cœur trop vide et j’sens que mon âme n’fais que de descendre
j’laisserais son lit vide vu que j’suis livide comme décembre
quand ma haine est incandescente, 24 décembre
seul dans ma chambre, une teille j’ai vidé je laisse des cendres
j’ai le cœur trop vide et j’sens que mon âme fais que de descendre
j’laisserais son lit vide vu que j’suis livide comme décembre
quand ma haine est retentissante (dans le fond, j’suis seul)
dans le fond j’suis seul, je l’ai toujours senti j’me suis menti mais j’m’isole
quand mon ressenti m’assombrît la vie j’vis, celle, d’un mec à qui on a tout pris
ce soir j’vi+sser et j’me demande : « c’est ça que je voulais ? une vie sale ? »
dans le fond j’suis sale, la résine du mal et ses fleurs m’ont assombries
j’ai vu que dans le mal résident les tales, j’connais son prix
cannette j’déballe, précis j’détaille pour vla de zombies … c’est ça ma vie
dans le fond j’suis seul, je l’ai toujours senti j’me suis menti mais j’m’isole
quand mon ressenti m’assombrît la vie j’vis, celle, d’un mec à qui on a tout pris
ce soir j’vi+sser et j’me demande : « c’est ça que je voulais ? une vie sale ? »
dans le fond j’suis sale, la résine du mal et ses fleurs m’ont assombries
j’ai vu que dans le mal résident les tales j’connais son prix
cannette j’déballe, précis, j’détaille pour vla de zombies … c’est ça ma vie

je souffrais sans le dire j’ai trop foiré, euphon m’apaise enfoiré
dans le fond j’suis jamais en forme et je devrais finir enfermé
j’ai vu passer trop de soirées, zoné dans beaucoup de squares et saoulé j’ai cherché les sous jusqu’à trop tard j’me perds le soir
et j’c+n+lise mes démons, j’prends de la vitesse
j’+n+lyse les émotions bre+som que la vie m’laisse, b+tch ass
j’rentabilise tout, ouais même ma tristesse, culpabilise mais les démons veulent pas que des p’tites pièces
on découpe ça pour l’espèce b+tch ass, c’est ça ma vie
j’suis bizarre j’ai quelques frères que j’aime et pas d’amis
gros j’suis blessé par mon ex autant que j’suis blessé par la vie
mes poumons j’blesse quand le seum m’oppresse et j’crois que j’suis pressé de perdre la vie
dans le fond j’sip vla de codé, pour que ma haine et que mes péchés j’puisse les oublier
j’me suis dépêché de m’émécher ce soir vu que j’voulais m’oublier
tous ces billets qu’on doit piller le soir je peux jamais roupiller
mon cœur est toujours goupillé mais bon comment lui en vouloir ?
trop d’années à encaisser l’a (ont) rendue tout noire
drogue dans la caisse après j’encaisse et tard le soir
une fois rentre, on pourra fêter nos victoires
mais parfois j’repense à victor et aux faux qui m’ont fait du tord
moi j’en ai passé des années à m’en vouloir
mais je veux tout baiser cette année cette fois c’est plus qu’un exutoire
les récits d’un cond+mné trop d’années attiré par le noir
j’dois enterrer le rap français pour ça que je me livre à ses auditeurs
24 décembre…
seul dans ma chambre une teille j’ai vidé je laisse des cendres
j’ai le cœur trop vide et j’sens que mon âme n’fais que de descendre
j’laisserais son lit vide vu que j’sui livide comme décembre
quand ma haine est incandescente, 24 décembre
seul dans ma chambre une teille j’ai vidé je laisse des cendres
j’ai le cœur trop vide et j’sens que mon âme n’fais que de descendre
j’laisserais son lit vide vu que j’suis livide comme décembre
quand ma haine est retentissante (dans le fond, j’suis seul)
dans le fond j’suis seul, je l’ai toujours senti j’me suis menti mais j’m’isole
quand mon ressenti m’assombrît la vie j’vis celle, d’un mec à qui on a tout pris
ce soir j’vi+sser et j’me demande : « c’est ça que je voulais ? une vie sale ? »
dans le fond j’suis sale, la résine du mal et ses fleurs m’ont assombries
j’ai vu que dans le mal résident les tales j’connais son prix
cannette j’déballe, précis, j’détaille pour vla de zombies … c’est ça ma vie …
dans le fond j’suis seul, je l’ai toujours senti mais j’me suis menti mais j’m’isole
quand mon ressenti m’assombrît la vie j’vis celle, d’un mec à qui on a tout pris
ce soir j’vi+sser et j’me demande : « c’est ça que je voulais ? une vie sale ? »
dans le fond j’suis sale, la résine du mal et ses fleurs m’ont assombris
j’ai vu que dans le mal résident les tales, j’connais son prix
cannette j’déballe précis j’détaille pour vla de zombies … c’est ça ma vie …

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