sphinx og - chien de traineau lyrics
[ intro ]
sphinx
pour les chiens de traîneaux
[ couplet 1 ]
ya mes démons qui m’collent au train, mes rêves qui font les chiens d’traîneaux
j’suis d’ceux qu’la vie collait au coin, ou bien [zéphaire ?] via des tonneaux
j’garde une carapace d’acier, qui n’se perce pas d’un seul trait
comme une serrure renforcée, d’une porte de jardin secret
un jeu d’ombre et de lumière, qui éclaire un mur dе son
enfant du monde, de l’univers, manquе de forme sur le fond
j’voulais les ailes ou de vrai anges, mais ici on met les crocs et mange
bien sûr qu’voudrait qu’mes mots dérangent, [ ? ]
j’vois tous c’que l’humain pollue, j’perds d’l’importance d’l’a cohérence
la terre reprendra son dû, dans l’inconscience d’autres insolences
j’trouve la lumière par p’tit bouts, que la vie aime ça aidera
si le vent éparpille tous, j’f’rai des poèmes en sa mémoire
on tente de vivre en paix, mais ne crois pas qu’on chancelle
même si au champs des mousquets, on préfère le dîner aux chandelles
on s’fout des trophées, en vrai je n’concours pas
mais on s’laisse pas atrophier de tout ce qui compte pour soi
[ refrain ]
j’suis l’clebs qui trimballe sa luge, entre les cœurs nappés de glace
on m’a dit “dis+leur que ça urge”, t’façon faut gagner sa place
puisque mon étoile est polaire, qu’elle me regarde du bout d’l’esp+ce
faut qu’garde le museau en l’air, garder le flair pas faire d’surplace
j’suis l’clebs qui trimballe sa luge, entre les cœurs nappés de glace
on m’a dit “dis+leur que ça urge”, t’façon faut gagner sa place
puisque mon étoile est polaire, qu’elle me regarde du bout d’l’esp+ce
faut qu’garde le museau en l’air, garder le flair pas faire d’surplace
[ couplet 2 ]
j’vais pas vivre dans hier, j’savoure aujourd’hui j’vais briller d’main
j’y arriverais d’la bonne manière, faisant le bruit de cœur au creux d’une main
nous libérer de c’qui nous bouffe, que l’espoir renaisse encore
j’irai au bord du gouffre, pour y poser des garde+corps
au frère des pères le puits qui n’a pas d’prix, venu d’pays qui n’ont pas d’nuit
que les aigles envies notre hauteur, vie la belle prairie que t’enfuis
j’pass’rai les obstacles et les glaives, pour v’nir m’incruster dans tes rêves
rien n’est le contacte de tes lèvres, sans brusquer l’aube qui se lève
j’répare les cœurs brisés sans même un bout de scotch
j’veut qu’mon cœur meurt usé d’avoir trop aimé mes proches
t’sais j’envoie des pétales de roses, quand elles reçoivent que des d+ckpics
j’suis d’ceux qui peuvent tellement de choses, j’m’en bats les couilles de la critique
j’voulais envoyer du love et faire du fleuve un torrent
j’viens du fin fond d’une mangrove, où les démons s’abreuvent souvent
j’voulais être un sale gamins, faisant du croco un sac à mains
boxer des sacs à 20 et péter le lit à baldaquin
[ refrain ]
j’suis l’clebs qui trimballe sa luge, entre les cœurs nappés de glace
on m’a dit “dis+leur que ça urge”, t’façon faut gagner sa place
puisque mon étoile est polaire, qu’elle me regarde du bout d’l’esp+ce
faut qu’garde le museau en l’air, garder le flair pas faire d’surplace
j’suis l’clebs qui trimballe sa luge, entre les cœurs nappés de glace
on m’a dit “dis+leur que ça urge”, t’façon faut gagner sa place
puisque mon étoile est polaire, qu’elle me regarde du bout d’l’esp+ce
faut qu’garde le museau en l’air, garder le flair pas faire d’surplace
[ couplet 3 ]
j’fais d’la rime qui fouette le cul, des fois j’me dis faut qu’fête le truc
p’t’être que j’suis fou d’mis être cru, marre il m’faut, j’vaut quelque nudes
j’ai pas les codes de vos nouvelles écoles, fait mal aux prods quand des bouts d’elle m’épaule
libre est ma corde, quand des bouts d’elle me frôlent
cœur gold, en plus belle des taules
j’leurs f’rai lécher mes s’melles, j’rentre dans vos têtes à la messmer
tu veut voir à quel point j’excelle, j’envoie leurs équipes aux vestiaires
j’suis pas venu être parfait, mon bonheur j’vais l’attirer
tu sais dans l’ombre j’me renforçais, pour voir la lumière m’aspirer
j’voulais goûter la vie par tout les trous, t’sais la vie d’rêve et tout et tout
et j’la voulais pour tout mon crew, créer des ponts entre vous et nous
j’ai vu tant de gens à terre, quand ce chantait le champ du port
j’ai voulu suivre les vents de la mer, c’est toujours mieux qu’attendre la mort
parait qu’c’est normal que j’me plante, à trop avancer sans plan
que par chirurgie tout s’implante, mais j’vois pas l’bonheur en implant
parait qu’tout s’décide a l’école, j’écrivais déjà à cette époque
qui ne savent que mettre que des coups d’épaule donc je dois mettre des coups d’estoc
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