t.i.s - le souffle du vent lyrics
[intro]
c’est pas la fête, en fait, c’est pas la fête, en fait
c’est le mois des tempêtes, c’est le mois des tempêtes
guette la tête des gens dég’, guette la tête des gens dég’
check le crew légendaire, check le crew légendaire
c’est pas la fête, en fait, c’est pas la fête, en fait
c’est le mois des tempêtes, c’est le mois des tempêtes
guette la tête des gens dég’, guette la tête des gens dég’
check le crew légendaire, check le crew légendaire
[couplet 1]
tous mes gens d’octobre tranquillement contemplent
l’événement qu’on tente chaque fois d’minimiser
l’arrivée d’l’automne, chapitre et autre tome
v’là l’t-tre de l’album, plutôt pour l’célébrer
mécanique trop propre, une technique trop n0ble
j’kicke sans métronome, mc décérébrés
quand j’applique vos codes, vos tactiques, vos modes
quelques geeks les gobent mais j’viens représenter…
[refrain]
le froid, le vent, la pluie (octobre)
mes gars s’levant la nuit (octobre)
v’là l’phénomène quand je ramène du bruit (octobre)
j’rappe à la pelle donc pas la peine de fuir (octobre)
le froid, le vent, la pluie (octobre)
mes gars s’levant la nuit (octobre)
v’là l’phénomène quand je ramène du bruit (octobre)
j’rappe à la pelle donc pas la peine de fuir (octobre)
[couplet 2]
tous mes gars d’halloween préparent des travaux dignes
des plateaux d’shaolin, ça frappera fort
mais ça reste encore anonyme, du nord d’la caroline
à la muraille de chine, mes métaph0r-s
valent de l’or et en barre à mine, pendant qu’tu baratines
l’automne débarque en ville, remet de l’ordre
y’a plus d’gourgandines à jambes fines, d’rappeurs comme amandine
d’player comme scalabrine, il pleut des cordes
v’là l’phénomène, là, j’me ramène, rappe et dégaine, tape et les ken
gogo gadget quand j’leur jette le flow black et decker
grave et déter’, pas prêt d’faire mieux, tu n’peux croiser le fer
braver l’enfer avec les frères de l’automne ou de l’hiver
moi, j’gratte aucune baliverne, c’rap est une frappe militaire
au mic, tu cours mais, gros wack, t’es comme dan philibert
j’kicke avec d’infinies paires de nike, j’suis pas venu faire
de blague dans cet univers plus froid qu’un sale frigidaire
[refrain]
le froid, le vent, la pluie (octobre)
mes gars s’levant la nuit (octobre)
v’là l’phénomène quand je ramène du bruit (octobre)
j’rappe à la pelle donc pas la peine de fuir (octobre)
le froid, le vent, la pluie (octobre)
mes gars s’levant la nuit (octobre)
v’là l’phénomène quand je ramène du bruit (octobre)
j’rappe à la pelle donc pas la peine de fuir (octobre)
[outro]
v’là l’phénomène, là, j’me ramène, rappe et dégaine, tape et les ken
gogo gadget quand j’leur jette le flow black et decker
…
grave et déter’, pas prêt de faire mieux, tu n’peux croiser le fer
braver l’enfer avec les frères de l’automne ou de l’hiver
…
moi, j’gratte aucune baliverne, c’rap est une frappe militaire
au mic, tu cours mais, gros wack, t’es comme dan philibert
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