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t.i.s - ombres lyrics

[paroles de “ombres”]

[intro]
yeah lando, t.i.s, yes
city hop(e)
minuit pile dans la ville
citadins, citadines, on ère

[refrain]
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe
on ère comme des ombrеs, défile comme les sеcondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe (yeah)

[couplet 1]
à la recherche de l’inspi’ depuis dix ou bien quinze piges
je sors, le soir, dehors, c’est la discipline que je m’inflige
toutes les pages que je rédige sont larges et devenues fétiches
sont barges et souvent très riches telles un monument qu’j’érige
c’est la plume qui me dirige, c’est la lune qui dit : “fige
l’instant, le moment présent pour que l’auditeur aussi pige
les accords et les litiges, l’humanité, ses vestiges
défauts et qualités, les hauts, les bas qui donneraient l’vertige”
[refrain]
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe

[couplet 2]
la nuit, tous les chats sont gris, la séduction a son prix
la sélection assombrit l’esprit d’un garçon incompris
masi j’essaye d’éclaircir et désépaissir des tas d’conflits
entre vices et sales tromperies, quand l’homme et la femme s’associent
paname ou gotham city, et toutes les villes s’approprient
ton âme déjà appauvrie et veulent en tirer profit
y’a, comme d’hab’, les hauts, les bas, le chaud, le froid ou l’harmonie
et l’chaos qui font débat, mais vous affolez pas, j’écris

[pont]
de l’authentique, pas de pâle copie
de l’original lo+fi pour le jt d’anne+sophie
et j’évite les calomnies, celles du mc radical maudit
la panoplie du pâle dobby qu’est mal compris
des [?] à nairobi, j’imagine que, parfois
les nuits sont les mêmes et que les ‘blêmes et les peines s’atrophient
mon labo n’est pas sanofi mais un coffee
où j’me calme aussi, et calmons city hop(e) et l’époque s’adoucit
[refrain]
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe

[outro]
on ère comme des ombres, défile comme les secondes
les villes correspondent à ce style qu’on laisse fondre
un film de james bond, une fille aux tresses blondes
une nuit qui reste longue sans l’envie qui s’estompe

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