thatwin-officiel - la mentale lyrics
dis maman, pourquoi tu tangues, tu vomis ?
et quand je rentrais de l’école t’étais défoncée au whisky
pourtant j’avais plein d’amis qui m’disaient ta mère c’est une princesse
pourquoi t’as dépouillé le curé si tu pries le dimanche à la messe ?
mais bon je t’en veux pas, la situation n’a rien d’unique
y’en a partout des alcooliques mais en plus t’aimes les trucs phalliques
pas de remords, pas de timinik et puis arrête+moi si j’ai tort
mais si on me traite de fils de pute, j’pourrai répondre “bah еt alors” ?
mais l’infidèle a ses raisons que la passion connait trop biеn
papa déserte la maison, a des cornes grandes comme des sapins
il est parti avec une go, il devait vraiment avoir la dalle
une balafre d’accident de moto équipée de lunettes par balles
j’ai un demi+frère que je connais pas et une famille dont j’me méfie
au fond être tombé aussi bas te permet de choisir tes amis
heureus+m+nt y’a le frère et la sœur, ma femme mon fils font mon bonheur
on est soudés et triomphal, on a la force et le mental
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
j’veux pas décrocher la lune, juste sortir des tranchées
avec une pointe d’amertume dans mon langage et mon phrasée
pas de médisance aucune et qu’ils aillent bien se faire enculer
j’attendrai pas l’album posthume pour pouvoir tous vous enterrer
dis tonton, le gominé aux cheveux gras
la cocaïne, le gros bidon
tu t’prends pour tony montana ?
t’aurais voulu être un parrain, en soirée t’étais grand seigneur
ils t’ont saignés comme une putain en te traitant comme un loser
ton bordel n’a tenu qu’un mois comme tout ce que t’as fait dans ta vie
tu t’es fait fumer à cuba, le point final de tes conneries
j’ai ta plaque commémorative où j’y ai gravé au couteau
ci git un mec à la dérive qui aurait voulu être macro
ton fils n’a jamais su bosser mais s’imagine en milliardaire
il préfère arnaquer mémé toujours dans les jupons de sa mère
et ils ont fini sdf et oui maintenant ils ont un fief
dorénavant pour quelques pièces ils chantent du michel polnareff
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
hey, dis mamie, tu crois vraiment que je t’ai oubliée ?
j’te dois ma première sodomie et j’t avoue qu’elle est mal passée
même la police m’a assuré qu’en plus de 40 ans de carrière
qui pourrait bien s’faire enfiler surtout par sa propre grand+mère ?
on était venus te chercher on avait des poches faméliques
t’étais internée en hp je savais pas que ça serait bordélique
on a tout fait pour que tu sois bien
on a tout fait pour te soigner
j’attendais pas de coup de surin de celle que j’avais tant aimée
t’es partie du jour au lendemain avec 3000 euros en poche
t’as vendu une voiture gagée
laissé les emmerdes à tes proches
tout ça pour aider les tocards qui t’ont collée dans le caniveau
ma sœur en pleurait tous les soirs
trahir les siens pour les euros
car ta vie se finira seule maintenant que t’as choisi ton camp
je ne serai pas là quand le linceul te couvrira pour l’enterrement
je m’en bats les couilles de vos dollars qui ont l’air de vous rendre fou
je crois en moi et vos histoires, pitié laissez les loin de nous
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
malgré le vent, les tempêtes j’suis toujours à contre+courant
esquive les crochets, les défaites pour faire des récits percutants
j’trace ma route, mec fier et digne, j’ai toujours suivi la même ligne
j’suis comme un boxeur en bout de course
qui vivra sa chute sur un ring
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