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theorem de gama - mots passants lyrics

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[intro]
theorem de gama mec
t’as reconnu
c’est les deux jumeaux babtou
t’aimes pas rivaliser, fils, on les bat tous

[couplet 1] theorem
essayez de rivaliser tester ma clique c’est pas possible
t’as peut-être des “j’aime” sur facebook mais t’auras jamais le profil
tu crois qu’elle est sincère j’ai vu ta racclie sur les bancs
ça fait pas trop mal j’espère de se prendre la raclée par des blancs ?
ouais, chacun son délire toi c’est talons et haute couture
moi c’est gratter des stylfree, les faire p-sser sur haute-culture
et les mecs arrêtez tous vous êtes des victimes de la mode
vos chaussures vaudront des centimes quand vous p-sserez à la morgue
et laisse p-sser du temps tu verras l’amour t’abîmes
donc les filles font toutes les putes, ne veulent pas de toi mais veulent ta bite
je pense pas trop à mes rêves, je veux juste de la maille et sans soucis
donc je retourne à la gratte, le rap je le graille comme un sushi
même si tu dégaines des guns, tu fais peur à dégun
mec t’es dégueu, sur toi je dégueule
je veux le beurre et je veux des gains
écoute un peu la punch, tu diras que la rime est lourde
si t’as pas su porter tes couilles
c’est pas parce qu’elles étaient lourdes
tu te crois chaud pour vendre de la came
tu dis que tes potes c’est des bons, deux semaines après tu te fais poucave
ils ont tous donné ton nom, ils ont créé un trône
mais dit moi pour qui est-ce ?
car quand ils kickent le moment que je kiff c’est quand j’enfile mes boules quies
gars c’est 10g pour mes og, défonce et roule un j
on court après le temps donc h24 nous on agit
les mc’s me font rire, ils me critiquent, jouent les mafieux
maintenant c’est soit tu fais de la trap soit tu copies du nekfeu
j’ambiance comme parov stelar, non mon gars je suis pas tenor
t’as besoin de dix sons pour te faire connaître, moi en une punch gros t’es mort
on est meilleurs que vous, même quand la mifa tise sec
on rêve d’être footballeur, mais bon ça sera que sur fifa 17
putain mais mec t’es con tu peux même plus compter tes grammes
tu consommes cons’ à profusion, mais la conséquence sera un drame
et tous tes compères sont duper et prennent des lignes dans tes concerts
et là t’es coincé tu les concertes mais leurs conseils c’est fume cette merde
qu’est-ce que tu veux que ça me f-sse que tu sois côté comme macklemore ?
moi je préfère des gars vaillants, des vrais guerriers comme mcgregor
de plus en plus sans âmes, ben zaka 100’h
on est meilleurs que vous, gars le rap c’est sans âge
elle a acc-mulé tant de peine, de la haine dans son regard
donc elle remplit son revé, maintenant traîne tard dans un hangar
elle est totalement ivre, elle veut du yves st-laurent
elle veut une bête de ive mais n’a pas de biff pour le moment
deter comme daron au combat, implacable est mon combo
y’a pas d’alliance avec quiconque, indépendant comme le congo
big up à victor et hector, sans vous y’aurait pas de son
big up à recreality qui jamais baisseront leurs caleçons

[couplet 2] gama
nostalgique, je me rappelle gamin de toutes ces journées au skatepark
gludob gama, un peu d’tamien et puis le ciel part en couilles
il devient chelou rempli d’amertume et ce temps là perdure
la pluie des nuages fait qu’au final on skate pas
mino déjà, j’attendais beaucoup de la vie
j’avais pas vu le côté malsain que certains ont récolté du vice
je voulais devenir médecin mais j’ai pas percé en cours, tu vises
la vie c’est soit tu étudies, soit à l’usine et tu visses
laisse-moi rapper, je suis seul dans ma chambre je me sens bien
je réussirais ma vie sans jamais géchan et surtout sans me plaindre
j’aimerais le beurre, l’argent du beurre mais je vais pas manger ça sans le pain
sur la route de la réussite, j’ai une limou mais sans le plein
les marques sur mon corps résument les coups de pute de mes potes
du coup j’ai gratté dans mes notes, consomme la weed pure depuis l’époque
où je cachais tout dans mon calcif enfin parfois dans ma chaussette
et puis dans la poche hermétique remplissant toute ma pocket
je déballe des tas d’ouvrages, mes phases font un carnage
donne une médaille à mon rouage bien entendu mon équipage
ça les amuse de rabaisser, ils abusent c’est sans intérêt
c’est l’intérieur qui fait le bonhomme, pas la paire de nike à tes pieds
elle me dit qu’elle est indécise
je me ressens en elle quand mes yeux la dessinent
je la vois partout même les deux yeux scotchés sous adhésif
elle équivaut à un diamant ou une peufra des îles
chaque fois qu’il y a un coup dur, je suis forcé de tégra un seize
j’encule tes habitudes, j’irais jamais péta de la seis
on avance tête baissée car la vie nous doit beaucoup
une grande envie de les baiser pour ça que la nuit j’ai le bambou
j’en ai marre des drames de merde
ça me fait mal les larmes des mères
des attentats, des armes de guerres
pour ça que le pet je le bamboule
jeunesse de merde qui baise à treize ans, qui p-sse de l’herbe comme un calmant
qui galère et qui rabaisse les femmes sans même être un peu galant
je te respecte si tu me donnes le respect en retour
c’est pas l’amitié mais la sincérité que je redoute
je suis jeune, j’ai le temps de faire mes preuves, mon sh-t s’effrite comme un lépreux
on t’a déjà dit que j’étais le preums donc travailler faut que t’y retournes
tu veux savoir ce qui va pas ?
ça craint tu le diras pas
mon père se lève, il a des cernes, son fils rentre il est rabaht
j’y arrive plus trop en cours, je stagne en dessous de la moyenne
mais j’y écris des textes cool, juxtapose consonnes et voyelles
depuis l’ancienne génération mon grand père mettait des tatepa
t’as faim ? j’ai des rations, on se donne des forces avec un plat de pâtes
pourquoi t’avoues pas qu’elle te manque ?
encore une taspé de plus qui te kiffait pour tes vêtements
le rap en plus d’être un p-sse temps, j’en ai cultivé ma p-ssion
j’ai dû avoir de la patience, comme un charclo devant les p-ssants
dans le rap on fait que p-sser
tes oreilles vont trép-sser
fais gaffe mon bel ami car j’ai la plume à maup-ssant



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