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unbased creator - chambre lyrics

kh
(freestyle)

c’qui me manque le plus, d’avant j’écrive a quand j’tais p’tit, s’cache en plaisir de se lever super tôt
déja high et debout
hypé que par dée+i d’m’entrainer, triquant c’était, ris quand t’est fait sale noob je suis super chaud
j’aime un mode bac a sable : seul avec un mannequin, jusqu’à c’que j’connaisse par cœur, aveugle, chacun des mouvement du perso
j’ai la même coupe que les arbres, chu taillé comme еux, la même patience еn fait : peut être pour ça que chu tout le temps super haut
travail rigueur, concentration d’laser ; putes, distractions, séparation d’ja faite, moi même en adver+
saire si ma confiance était d’vant moi frère, je l’aurai motivé a coups d’batte et d’noisettes dans sa tète
si ca marche pas j’débite des scripts, “silo d’imaginations”: c’qui disaient quand j’étais p’tit les psys, mes rimes “dangers d’épilepsie”
grace a ça j’écris fait l’vide nigaud, inactive action, j’lit xp, j’en fait des big et p’tit, des sh+t t’en fait des inerties
de cases, tu es vide
taff c’est : de base thunes n’évite sens inverse d’on biff en balle
ca fait : ma chambre fume écrit, sent saint ter, condiment sales
bat les, même si chu fait kick d’vant l’intercontinental

douze ans le mec fume archi mal se noie d’verre en big doses
sous d’vant je m’exulte, arrive a ne voir qu’$ qu’en x choses
boue quand j’me pete ; vue d’archi+sage, j’me voit même en systole
donc
souvent je m’excuse a l’image de moi, vert, dans l’lit d’mort

(mon esprit, à mon être entier)
pas facile a dire; mon pote sans toi c’est la scène triste ! quand
maladies arrivent, ton corps t’envoyait avertiss+m+nts
gars, la vie applique son sort, en soi c’est qu’affaire d’x temps
et
ca n’varie ap si ton col en soie est a “13 000 francs”

cerveau perma+courant comme une lumière d’hôtel ca kick
chu fait, même plus j’rêve, une nuit, un flow : tète fabrique
dans un p’tit coin d’ma tète calcule puis un gros texte aligne
j’me dit au l’ver j’cours en cass’une puis un “problème” arrive
j’me lève, en fait, je marche : ma vue suit un proverbe facile
j’me dirige vers c’te page et d’mot j’vais descendre un blok note
a peine le temps d’arriver une fuite, un gros “merde!”
a dire, j’sait que j’retrouverais jamais gros j’étais dans un aut’ globe
massa en train d’se charger
même si la taleur j’tais en chien, tu vois moi quand j’tire le pet beh j’haie, j’sait la barre en train d’me nasser
merci aux erreurs des anciens, tu crois quoi quand ils rev’
né j’étais déjà la en train d’regarder
et j’étais déjà la en train d’me marrer (j’suis)
fait, l’effet des cannas en train d’me gâcher (soon)
décédé, les draps vanne, en train d’me cacher

moi soir+ce mic i lâche, ken tout tard y reste
trois soifs de 10 villages, plein d’boug, “naqsh+e jahan” (en)
toises voit la zic, naissent en moi trois architectes (viens)
voir, what a 10 000h can do : “majd’e’shah”

mic ça grail ent’les cases dedans airs a tasses maille a :
faire m’autoflagelle en mode marshall 8 miles, a peine plus gros qu’la veille ; s’mi blanc l’hiver, s’mi neg l’été ; vise, diaphragme il pagaille en vrai ça s’ressent l’air a taffer la y’a
gie+ma d’high+lands, n’aie pas peur entre, même la page est faya
j’écoute que ça, vrais, enseignants, tupac à la secte, en passant par paris, m+rs+ille, toulouse, amérique, jamaïque, la thaïlande , et l’majeur en l’air a ateyaba
peace ya maha’faka

- unbased creator lyrics

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