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urban shoot - urban shoot #18 lyrics

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[introduction]
allez, urban shoot prise 2

[couplet 1 : b.james]
james b., l’abominable pour les intimes
monsieur 93
j’ai pas des tonnes de recours
j’ai pas des tonnes de diplômes
charbonner avec un tire-pal’ ou avec un crosse dans la paume
pour mes pet-ts frères à villepinte, nanterre et jusqu’à bapaume
qui remontent en cellule amèrement après un parloir fantôme
on a tous les mêmes symptômes, victimes du même syndrome
la précarité notre binôme, nous suit depuis qu’on est môme
rmistes, récidivistes, on prend les sous place vendôme
on travaille les cailles comme einstein travaillait sur les atomes
j’connais les limites de l’amitié
j’les ai vus profiter de ma pénitence au pénitencier
j’faisais des pompes pendant que vous dansiez
et j’vous ai vu médire, et puis dire qu’on était la famille
cessez d’me mentir
on gagne la gamelle à vouloir faire la culbute cousin
renseigne-toi sur moi avant d’ouvrir ton cul d’pute cousin
on trouve pas d’solutions à l’éternelle question
comment gagner des millions sans jamais faire de prison
les conseillères d’orientation nous ont induit en erreur
si on avait su on aurait tout fait pour devenir trader
tu sais rien pet-t frangin : arrête de faire l’ancien
j’ai connu la bicrave [en scal-pa et sav ?] de marocain
blankok, urban shoot mon copain, a.n.f.a.l.s.h

[couplet 2 : al]
a.l, m.p
1 micro 2 platines, comme ça
yeah, hein hein, hein hein, hein hein
tu croises des types qui t’disent “j’aime bien c’que t’écris”
[tablette ?] qui fait semblant de n’pas entendre tes cris
quand ils voient nos cités comme les jungles d’afrique
tf1 les boules comme national geographic
[y’a pas ?] ça rend nerveux comme grandir dans la cr-sse
j’ai du mal à m’détendre, j’ferme jamais les yeux quand j’embr-sse
on reste des barbares selon leurs critères, ainsi ils ont fait p-ssé “allahu akbar” pour un cri de guerre
toi tu rêves d’être blindé et d’être taxé à mort, de collectionner les cartes [d’accès à bord ?]
ils sont mêmes blasés du progrès, ils ont tout vu, maintenant quand l’avion atterrit les gens n’applaudissent plus
[j’vais ?] vers le futur en marche arrière, du bien, du mal dans mes artères, j’suis pas parfait et j’suis pas à refaire
faut pas m’en vouloir j’parle peu, ainsi quand la vie et moi [cousons ?] il y a comme un parfum de pare-feu
moi j’voulais que le rap m’emmène au summum, j’me fais traiter de grosse merde sur les forums
ho, tu m’tapes de l’œil, wallah et j’t’en veux pas mon grand, dieu me donne, me reprend c’qu’il veut, tu n’as rien à voir là-dedans
devant leur rap de merde je ne vibre pas, m.p, anfalsh, [xxx] maintient son triple a
slim, tatouages dans l’cou, arrête ta disquette, moi j’en ai rien à foutre du rap pour les mecs qui font du skate
nous on a des lyrics comme des coups d’crosse, bande de cons vous tenez pas l’coup comme le cœur de rick ross
ici on croit s’enrichir en dealant des barrettes, c’est tellement naze qu’y a même qu’un train sur quatre qui s’arrête
les effectifs vendent du détail [en / aux ? ] grossiste, le c.e propose de séjours à fleury-mérogis
les rappeurs [s’voient ?] en maserati, depuis qu’c’est tendance [ils t’gonflent tous ?] avec les illuminati
on p-sse du simple mc à la caille-ra, changent leur fusil d’épaule depuis qu’la rue est devenue bankable
c’est pareil pour tous, babtous, rebeus, renois, chacun pour sa gueule, j’ai pas d’message, prends soin d’toi
tu peux y rester [xxx] comme ou survire comme [xxx], frère on sait jamais c’qu’on trouve au bout d’une ligne
yeah, m.p, a.l, comme ça

[couplet 3 : prodige]
anfalsh
oui je parle de toi car j’ai du temps à perdre, permet-moi d’te dire que ton alb-m c’est de la merde
ton flow est futile, tes paroles infantiles, ton esprit d’révolution est imprimé sur du textile
sérieux rends-toi utile, c’est mon cerveau qu’tu mutiles, [c’est / si ?] pour skyrock qu’tu as le béguin c’est qu’tu n’as rien d’hostile
et pour l’appât du gain tu te faufiles comme un reptile, sous le feu des projecteurs, à l’abri des projectiles
parlons bien, parlons peu, parlons tranquille, toi qui prends du côté pile, continue le freestyle
tu n’mènes pas une vie d’artiste, c’est bien ça le plus triste, dis-moi qui peut t’envier à part des cons derrières leur clavier ?
arrête tes bobards, tes héros, ton [xxx], des barres, au fond tu as la même conscience que mon clébard
change de créneau toi qu’as les mêmes envies qu’laurent bouneau
[xxx] financement c’est la [xxx]

[couplet 4 : casey]
a.n.f.a.l.s.h, b.james, casey, prodige
matière première, al, raph, ok
je prie mon dieu que plus jamais rien ne me change
pourtant j’ai bien bu l’équivalent du gange
défié l’inconnu et inculpé les anges
de mes pires conneries, en invoquant le ciel quand ça m’arrange
j’ai attisé la flamme et méprisé la vierge
j’ai consumé mon âme et piétiné des cierges
j’ai accusé le monde de taquiner des verges
et de singer la marge tout en rêvant de retrouver la berge
et puis j’avoue j’ai cette allure étrange
qui me vaut commentaires, regards inquiets et peu d’échange
oui j’échoue à tous les tests, ne fais que brouiller les pistes
résiste à toutes catégories et c’est ça qui dérange
allez savoir quel démon me démange
je ne me sens bien qu’au milieu du mélange
je provoque des incendies, pour fuir, escalader
j’ai la maladie de qui veut chaque fois s’évader
c’est ma manière d’être, oui
c’est ma manière d’être, oui
c’est ma manière d’être
c’est ma manière d’être
anfalsh !



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