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vald - lalala lyrics

[intro]
yes, on est reparti pour faire un son comme on peut les faire, hein

[couplet 1]
yo, ce soir, je roule, j’suis pas sur d’le faire pour ressembler aux noirs
j’connais qu’émile zola sur aulnay-sous-bois
j’suis décalé, j’le sens quand ils m’racontent leur vie
ça parait excitant d’monter, s’faire jeter par l’deur-vi
l’autre jour, j’ai rien pensé donc j’ai dégueulé
j’vous vois comme des bêtes qui valent plus que dalle une fois dépecées
et puis, tu sais, y’a plus rien des verres qu’on a bu cul sec
dans deux s’condes, j’vais vomir l’argent qu’on a déjà du perdre
des dégâts, des défaites dans les dépêche de presse
tu parles tout l’temps d’changer les choses qu’est-ce qui t’empêche de l’faire mec ?
bientôt, j’me coupe les veines si j’arrête pas d’rêver que j’bois du coca zéro en lisant closer devant la télé
ouais, j’ai rien à dire quand faut parler pour rien
si ma fille fait la pute, j’la bute et j’la ken pour la toussaint
mais c’est pas malin tout ça, viens par là mon poussin
j’veux plus répondre à tes caprices, rends-moi ma bite sous ton coussin

[refrain]
j’ai pas besoin d’un thème pour avoir des idées
j’suis pas très responsable, tu l’avais deviné
j’arrêterais de dériver quand j’l’aurais décidé
encore des nourrissons que j’viens de décimer
j’ai pas besoin d’un thème pour avoir des idées
j’suis pas très responsable, tu l’avais deviné
j’arrêterais de dériver quand j’l’aurais décidé
encore des nourrissons que j’viens de décimer

[pont]
bientôt j’me coupe les veines si j’arrête pas d’rêver que j’bois du coca zéro en lisant closer devant la télé

[couplet 2]
okay, pourrais-je avoir un peu d’codéine sans ordonnance ?
j’voudrais planer sans prendre l’aéroport à denver
j’ai des trous noirs au plafond mais sans perdre le nord
j’esquive celles qui m’aiment et déclare ma flamme à des extincteurs
j’ai croisé un si gros boule dans un si fin leggins
comme ces carottes acceptées par ces soi-disant gens si fin d’esprits
c’est fin, n’est-il pas ? j’arrête tous les jours les films de sapins mais c’est loin d’être cile-fa
y’en a marre des moyens blarfs
j’suis doyen larve, plus je ris, des fous moins y’en a
bientôt, j’me coupe les veines si j’arrête pas d’rêver
que j’bois du coca zéro en lisant closer devant la télé
ça m’dérange toute cette merde en vente ces re-fré bons qu’a faire semblants
ces putains d’fêtes ou j’reste en plan, qu’ces salopes restent ensemble
à force de m’toucher, j’fais d’la fumée en guise d’encens
des fois je rêve de toi : le plus souvent les tripes dans l’vent

- vald lyrics

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