vald - maizena lyrics
[couplet 1: ad]
j’suis pressé d’vous dire d’aller vous faire foutre, tous autant que vous êtes
touche au clan; j’vous découpe les couilles, toi et toutes tes grandes poulettes
j’vous déteste dans la forme mais dans l’fond globalement j’vous aime, tous !
aussi cons les uns que les autres mais gros pas le temps d’vous faire, court !
plus débrouillard que les scouts
déboule avec une trouvaille qui décoiffe tous les trouillards que j’écoute
et ces pouffi-sses me dégoûtent, (et coulent plus d’balle que des boules) ?
pourtant j’étais pas censé parler d’tout ça sans détour
mais gros jette ton mégot blanc et bouge
des soucis, un suicide, du sursis, -ssied toi au banc des fous
c’est ludique, non stupide frérot !
j’hallucine qu’un gus ivre, zéro !
f-sse jouir autant les fous et quand les tours s’effondrent
pas le temps de s’astiquer, j’étiquetais le démon d’avoir jeté jésus dans les clous
la méduse prend tes sous, jamais vu tant d’époux
étouffer leur femme et s’dire j’vais juste bander pour
lui prouver qu’elle m’aime tant oui, désolé si j’t’ai fait du mal mais tant pis
c’est comme ça, tes grandes histoires me c-ssent les couilles
et j’broies du noir quand j’vois que de bandits
on biene moins d’vices que d’salopes s’étalant dans un grand lit
et puis merde on est quitte, va te faire foutre on s’évite, c’est mieux
mais pour m’débarr-sser de toi faudrait que j’quitte les lieux
alors deux secondes faut que j’médite tête de con
j’dois vérifier quelques comptes histoire de voir si j’ai grandi
on dit tellement de choses que tout finit aux oubliettes
j’arrête la cigarette j’rachète six packs et sans souci yep !
frère j’vais m’lancer dans l’bouddhisme
pendant qu’toutes les tanches roupillent
allez t’as tout dit ?
ouais !
[couplet 2 : vald]
dans tes vieux rires j’arrive à voir de la dépression
j’crois qu’vaut mieux mourir que l’sh-t pour répondre à tes questions
et de ma fenêtre, j’vois la routine des bons vivants
noyés dans cette merde enivrante pour surmonter ces longs dimanches
et bondissant d’nulle part, j’vois la rage devenir conciliante
avec la maille on oubliera toutes nos révoltes en soupirant
guette la manigance du monde derrière mon maniement des mots
derrière des monuments des gens observent le ralliement d’héros
le banniment des nôtres, derrière l’alliement des meujes
mais allez alimenter le keus avec tant d’farine nan j’ai mieux
sans aucun radis devant les yeux j’vais t’fermer quasiment les deux
ensuite, -ssis sans mes veuchs j’imagine ma p-sse dans les cheveux
des partisans verreux, leurs sculptures attristent tant les lieux
sympatisant m’des neux, venez m’voler j’peux faire des nouveaux nés
j’c-sse la baraque peut être, peu d’camarades me baisent
mais j’en ai peu t’façon, met dans l’verre deux glaçons
eh ! j’pourrais parler d’fraîche emballée de schnek sans pareil
mais j’men bat les steacks, j’compte pas rester, là juste à m’branler sur les states
payer mes impôts, et mendier du respect
c’est que des capots sans destin, sous une fumée nocive comme un labo clandestin
des guèzes barrots j’en ai fait, par contre j’paierai pas, la course pour ces timps !
jamais !
[couplet 3 : i.n.c.h.]
j’m’en bat les couilles de manière intersidérale
j’ai l’fute au ras du cul même si ma bite dép-sse
viens m’astiquer ça, si t’es cap
au pire fais comme si c’était seulement de la maizena
j’suis pénard, dis toi que j’ai les boules remplies de lait d’vache
depuis que t’es là, c’est plus drôle donc j’te retire l’estrade
me dis pas que si je t’efface c’est parce que j’pique tes phases
y a un autre truc aussi, j’nique tes femmes !
j’avoue j’suis peut-être pressé d’être un vieux con
du genre qui agite ses couches merdiques, dès qu’il y a un peu de monde
j’aime les images, les allégories, les métaph0r-s
j’essaie d’écrire des trucs sensés mais c’est pas top
sur les femmes et ce qu’elles se mettent en travers d’la gorge
des trucs bios, des infusions de bergamote !
mais non, la ferme salope, j’écris pas comme un poète
c’est des trucs sales qui me viennent d’abord
[couplet 4 : kro]
a la recherche de la prose qui tue
trop de loss bifurquent et se prost-tuent
j’démarre à l’arrache comme du cross bitume
si à tort j’t-tube, c’est que j’sors d’une bonne biture
alcool et son dans mes veines remballe ta grosse piqûre
le cerveau zébré par des tonnes d’fissures
a force d’enchainer les dutchs de o.g purs
travail acharné comme un gros qui sue
récite mes bars fresh out da box tribute
histoire de planer comme un tox qui s’bûte
ok ça se sappe comme une ‘lope qui suce
arrache ton corps d’minus avec mes khos j’diffuse
une putain d’ambiance peace aux airs de top mixture
“mais y’a un autre pet-t truc” (i.n.c.h)
a trop t’faire péter le cul tu finis avec le coccyx dur. (f-cking truth!)
tu veux nous faire de l’ombre avec un flow d’bizu
en plus tu fais l’gangster parce que tu causes sil-fu ! folie de rue !
quand j’kick avec mes xxx vu qu’au cro-mi j’tue
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