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vald - nqnt lyrics

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[couplet 1 : vald]
quelques grammes de conneries dans mon joli portfolio
la folie d’nos doctrines n’a pas d’définition dans vos dicos
j’bonifie vos olives avec mon beau liquide opaque
n-gger what ? ferme ta gueule, tu restes un chacal même après six ricola
“rigole ap” m’a dit l’oracle, toi, t’es plutôt sentimental
après d’immoral pilonnages, regarde des t-sses-pé qui s’embr-ssent
et qui s’ent-ssent dans ma breuch, mes zombies sans qui, j’en bave
jette ton cerveau au-d’ssus d’la m-sse pour l’nouvel empire en marche
lève ta main pour sullyvan, j’lance ma rhétorique
j’vous baise contre le plafond avec la libido d’un exorciste
bite dans l’œil du keuf qui cherche dans ma veste du cannabis
incapable de comprendre la complexité d’mes psych-n-lyses
un seize en vrai, j’m’embête, admire mes vers dans la tempête
aspire la poudre d’escampette, t’as une vie d’merde mais reste en paix
l’estafette est pleine de mouille, j’en perds la tête mais reste cool
espèce de fou, ma chatte n’est plus l’seul mammifère qui m’lèche les boules

[couplet 2 : suikon blaz ad]
eeeh, j’crois que j’suis malade, il m’faut un médecin médical
pas un dièze b-n-l qui m’f-sse sur l’ordonnance une dédicace
les bails sont véritables, pour c’projet, il m’faut un steadicam
des hélicos, des dauphins, des gobelins en plexiglas
trop d’délires périmés, l’cl-to des filles excisé
j’trouve dans mes poches, vous pouvez vérifier, c’est génital
distrib’ à la fin des cours, c’est pas cher donc pointez vous
ici, c’est l’coin des couilles au point d’écoute, c’est génial (trop fort)
tout un tas d’meufs qui m’ramènent leur schneckeus mais j’sais que
c’est dégueu mais croyez-moi, j’suis délicat
légère douche, je scotche le cl-tal sur le bzèze droit
j’suis rital donc je sais quoi faire, j’leur vends des jeans sales
pour que ça p-sse mieux et sachez qu’elles kiffent ça
ça d’vient interminable, faut qu’j’me c-sse avant qu’j’me f-sse vieux
ouais, j’vais m’arrêter là, faut qu’j’cesse d’épater les tas d’femmes connes
mais comme ça, j’dirais pas qu’j’ai pas fait les bails

[couplet 3 : vald]
j’suis l’genre de chevaliers : grosse gourde et grosse épée
autour d’mes procédés : des fausses couches crient : “au s’cours, c’est trop fêlé”
j’ai douze croûtes à croustiller pour baiser ta mamie
mamma mia, y’a d’la hilla d’quoi embraser la tamise
ma famille, c’est la patrie bel et bien apte à l’infamie
parler d’jarretelles un pas dit, c’est comme écraser la famine
j’ai dit : “gardez vos distances ou bien écartez les guibolles”
j’ai bien r’gardé vos quittances, j’ai d’quoi éclater vos vies molles
comme un saint calé sur un sein, j’récite mes alexandrins
elle veut pas d’soirée sans fin, elle veut seulement que j’la baise enfin (han ouais)
moi, j’trouve ça crade mais tant pis, j’adore bien cramer l’ampli
d’aspect gentil, les yeux rougis même quand j’ai pas mes lentilles
anéantiss-m-nt programmé, j’lance des lasers au mic’
un genre de cam érotique : trash et gothique
carrément déparavé gros, c’est pas les motifs qui manquent ni la théorie, hein
je suis venu, j’ai vu, j’ai latté vos rimes

[couplet 4 : suikon blaz ad]
le monde est stone mais vas-y, s’te-plaît, s’te-plaît
gros, j’m’en bats les steaks de voir que s’amenuisent les stocks, j’ai
bien trop d’idées folles qui explosent comme un film de scorsese
bénis-moi le score c’est combien-combien contre c’est ?
chien d’la c-sse qui tab-sse et t’agace à coup d’procès
la seule réponse valable est pas mal : tendre son gros zgeg
il m’semble que j’ai rien à prouver à ces connards d’faux frères
j’écris mes seize où j’mets en scène des histoires obscènes
et pas d’benibla aux pecs, j’veux pas d’ces filles là au grec
j’me d’mande bien pourquoi ma femme dévisage l’autre mec
homicide ou mariage forcé ?
accrochez-vous, la biatch en héritage a des milliards d’côtés
à côté d’ça, j’fais pas l’poids, j’suis qu’un insecte
la tension est palpable, j’suis malin comme un singe bête
j’ai envie d’danser, faut qu’on s’taise en silence
pour avoir la bite dure : il faut que j’baise dans l’ciment

[outro : vald]
et c’est tout



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