vii – infamie lyrics
[intro]
et depuis cette époque, je n’ai jamais pu ch-sser cette image, elle me hante. ma vie est devenue un cauchemar, j’ai parfois l’impression que ma tête éclate
[pont]
infamie… cette envie de buter les membres de ta famille
[couplet 1]
la grandeur de mon art dans mes atrocités
comme jésus trucidé, je vais ressusciter
exhumer de la boue, traîner au fond du bois
désormais pour moi tu n’es que de la bouffe
je t’observe basculer dans le vice
une paire de tenailles pour émasculer ton fils
un festin, tel sera ton destin
j’ouvre ton abdomen pour t’enlever l’intestin
tes entrailles étalées sur ma table
un instable au style infréquentable
et comme béatrice dalle je vais te malmener
chérie je t’aspire la cervelle par le nez
que ta mère se f-sse foutre
que ta famille entière finisse dans le menu de mon fast-food
je t’exploite, je suis ton master
décapite un pasteur avec un ghetto-blaster
un salon tap-ssé de coupures de journaux
d’instruments de torture et de photos p-rno
je suis le narrateur d’un atelier sordide
un couteau pour sortir ton œil de son orbite
[refrain]
infamie, [auguste et morbide ou famine ?]
cette envie de buter les membres de ta famille
on enterre les starlettes, tu seras la suivante
moi je te baise que tu sois morte ou vivante
infamie, [auguste et morbide ou famine ?]
cette envie de buter les membres de ta famille
et si tu t’entêtes, ton crâne se disloque
de la technique en stock pour disperser ta tête
[couplet 2]
sur le trottoir ton cerveau se déverse
quand la mort te caresse il est déjà trop tard
j’ai ton sang sur les pompes, écartez les jambes
et j’explose vos ovaires avec un fusil à pompe
ta prunelle au bout de l’opinel
si je lacère ton crâne appelle-moi joe spinell
j’aspire ta cervelle car tu n’es qu’une garce
le théâtre à sardou n’a plus rien d’une farce
n’épargne personne, pourvu qu’ils y p-ssent tous
une orgie satanique aux allures de partouze
le goût d’une cartouche coincée dans la trachée
t’as perdu la tête quand je te l’ai arraché
j’ai tranché dans la chair, dégusté ton corps
mon style est plus gore que les cannibal corpse
j’absorbe de la drogue, je te baise à la morgue
je dévore tes organes avec l’appét-t d’un ogre
comme chopper je t’arrache les orteils
comme dans frankenhooker mon crack est mortel
moi je vends des pucelles au bordel ukrainien
mon rap ce n’est rien qu’un traumatisme crânien
[refrain]
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