cabadzi – nous sommes deux femmes lyrics
[intro]
(?)
[couplet 1]
pensées infectes dans leurs têtes
ils voient partout bon an mal an des folles drag-queen en fait c’est peter pan
et moi j’aimais comme il bougeait, j’aimais comme il fumait
et puis y’avait des flots de voitures au loin
j’voyais d’en haut comme il dansait
petite ballerine sur les pandores
et l’infini alors qu’ici ils pensent petit
qu’ils p-ssent le temps, qu’ils perdent leur temps, qu’ils perdent le temps, qu’ils f-ssent leur temps
la tendresse n’a pas de raison
il me parlait
y’avait des rires
je répondais sans réfléchir
un doux marché de manque d’affection, de cœur d’occasion
[pont]
besoin chronique et permanent ce serait compris par un enfant
[couplet 2]
nous étions cent, nous étions g-ys
ils étaient mille c’est effrayant
discours futile
tout comme la poule est folle l’œuf inutile
mais j’aimais comme il bougeait, j’aimais comme il chantait, dansait pour nous sans garde-fou
qu’ils p-ssent le temps, qu’ils perdent leur temps, qu’ils perdent le temps, qu’ils f-ssent leur temps
et tu tournais autours de moi
petit ballet de nos émois
un tableau noir un tableau blanc aussi timide qu’arrogant
fier peter pan par tous les temps, fiers insolant pour très longtemps
[pont]
besoin chronique et permanent ce serait compris par un enfant
[couplet 3]
ils ont le décor de l’idiotie
tapent 1, tapent 2, tapent 3
choisissent l’amour comme on élit les rois
j’aimais comme il dansait
j’aimais comme il fumait
je penserai loin de ces taudis mon beau danseur étoile des toits de taule
qu’ils p-ssent le temps, qu’ils perdent leur temps, qu’ils perdent le temps, qu’ils f-ssent leur temps
le bonheur est sans douleur, je te donne le mien mon ange gardien
il en va des peurs comme des pains, tu les multiplies pour rien
fier peter pan par tous les temps, fiers insolant pour très longtemps
[pont]
besoin chronique et permanent ce serait compris par un enfant
[couplet 4]
j’aimais comme il dansait
j’aimais comme il fumait
nous sommes deux femmes
ce sera pour toi, ce sera pour moi
tu seras le parfum du bout de mes doigts
ne rien dire, ne rien boire
ce sera toujours un terrain de jeu plus noir et sans histoire
qu’ils p-ssent leur temps, qu’ils perdent leur temps, qu’ils perdent le temps, qu’ils f-ssent leur temps
nous écrirons des contes de fées de pères en robe d’été
montre-moi que j’ai tord
qu’y’a bien une suite dehors
fier peter pan par tous les temps, fiers insolant pour très longtemps
[pont]
besoin chronique et permanent ce serait compris par un enfant
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