col'ombre (fra) - apparentsces lyrics
[couplet 1]
la peur au ventre, les yeux en pleurs elle se fait souvent du soucis
dans son petit corps réside un cœur énorme qui me r’donne le sourire
cette femme est une perle qu’aucun collier ne porte
une lueur d’espoir qui guide mes pas tous devenus borgnes
elle est le phare de ma vie vogue mon navire sur la bonne route
ses conseils ma pharmacie quand l’avenir saigne à grosses gouttes
je suis le sang de sa vie elle est toujours à mes côtés
quand mon silence cri au secours elle est présente pour m’écouter
attentionnée, protectrice et pleins d’amour
chaque jour je cri ma peur, je crains sa mort, j’écris mes doutes
est-il possible qu’son pouls s’arrête pour plus repartir ?
que le vent souffle sur cette fleur à qui sa graine et fier de ses racines ?
ma famille, mon pays, enlever ma mère c’est brûler l’drapeau
ses valeurs, ses devises, elle est la voile de mon bateau
ma mère habite mon cœur, la perdre causerait ma perte
sans elle je ne pourrais vivre ma vie repose entre les mains de cette reine
jamais à court de sentiment quant il s’agit de m’en donner
ma mère se calme même quand la moutarde monte au nez
elle me nourrit de ses valeurs, tout ce que j’ai je lui dois
c’est grâce à elle si je sais que là ou je vais ça ne mène pas nul part
maman j’ai peur qu’tu partes sans toi je sais pas c’que je ferais
j’crois que si tu quitterais ce monde mon cœur prendrait la prison ferme
t’es ma boussole, ma confidente, mon bouclier
tu m’inspire le bonheur quand dans ton lit j’te regarde bouquiner
j’suis désolé si je n’ai pas toujours fais les bons choix
si j’me suis trop de fois noyé quand tu me disais “ne plonges pas”
je rêves de voir un jour ta bonté devenir célèbre
pouvoir prouver à tous qu’elle est le fruit d’une force céleste
que malgré mes défauts, mes fautes t’a toujours étais fière
maman t’es ma force tu m’a appris qu’on ne gagne pas sans défaite
merci maman d’m’avoir soutenu, à t’en péter les vertèbres
m’avoir appris que le verbe “avoir” pouvait définir le verbe “être”
[refrain 1]
ah non maman ne pleure pas, ah non maman ne pleure pas
ah non maman, ah non maman
[couplet 2]
symbole de ma vie, pilier de mon caractère
il est ce cavalier qui se cavale et se bat la mémoire de la carte mère
je me rappelle de ces moments ou il me serrait dans ses bras
n’es pas peur, comme il a fait la guerre impossible qu’on se sépare
consolé par ses mots il m’a offert la force de vaincre
laisse le côté faible agir quand le côté fort se plains
je repeins mes journée avec la peur qu’on l’opère
convaincu qu’c’est logique si dans le mot “repère” y’a le mot “père”
education hors pair, j’ai grandi nourri au principes
souviens toi de tes vœux, tes rêves avant que l’oublie ne t’ôtes un cils
qui collait à ma joue comme les pleurs qui coulaient chaque jours
un océan de larmes sur mon visage m’a dégoûté de l’amour
c’est à ce moment que mon père m’a défendu
m’a écarter du vide puis m’a parlé de la vie, saucer son fils c’était son but
“ne survis plus, vis” c’est sa consigne, fallait qu’j’m’en sorte
que si tout était bon signe fallait que les coups m’ouvrent des portes
mon père me r-ssure et m’écoute même quand tout va mal
il m’aide et me protège des coups même quand les coups m’attaquent
il est tout pour moi, c’est mon bonheur inévitable
merci papa d’m’avoir appris qu’il n’y a que l’honneur qui est vitale
qui évitera mes mots peut s’vanter d’une peine interminable(?)
naître sans connaitre son père c’est naître en pleine phase terminal
on peut prétendre se plaindre si l’on est avec un père
un père sa offre un flair et je sais qu’un si long nez ne peut se perdre
papa je te dois la vie, je te dois l’envie d’l’aimer
chaque jour tu m’inspires je rêve de t’ressembler
toi qui m’a recentré quand la haine je ressentais
tu m’a dis “mon fils croit pas ce qu’on te dit il n’y a que la paix qui est censée
reste grand évites de croire sans avoir vu
retiens que restais loin d’ses proches c’est laisser l’cœur en garde à vue”
merci papa pour tout, j’suis fier de dire que j’t’aime
je chanterais chaque jour notre amour à fin que jamais, il ne s’taise
[refrain 2]
ah non papa ne pleure pas, ah non papa ne pleure pas
ah non papa, ne pleure pas
[pont]
à mes parents, et tout les vôtres
courait les rejoindre avant que la mort ne vous les ôtes
à mes parents, et tout les vôtres
courait les rejoindre avant que la mort ne vous les ôtes
a claire et lucien, parents bienveillant
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