fadah – nid d’embrouilles lyrics
[paroles de “nid d’embrouilles”]
[couplet 1]
ni de honte, ni de remords, ni d’emmerdes, moi j’vis avec
[?] ou lit de mort, tous classés en file indienne
j’profite de la vue, j’me sens vivre
[?]
trop d’candidats pour deux centimes, d’la confiture à deux [?]
on t’efface après te report et l’alcool te sert de repère
lourd comme un [?] de remords ou comme un groupe qui se reforme
ça sent la matraque qui dérape comme avant série de réformes
j’attends la récupération comme après série de révoltes
j’ai bien assez d’un taff de merde, j’me passerais d’me foutre sur la gueule
et quand j’vois l’sort des apatrides, j’me dis qu’on s’foule pas sur l’accueil
perso, j’me défoule sur la feuille et j’compte bien gagner la partie
qui ne l’a pas vu n’la pas pris : j’fais ça pour tout sauf ma patrie
[refrain]
c’est comme prendre deux chiens qui s’battent et tenter d’les séparer
ils me laissent la parole, ouais mais sans m’laisser parler
ça va s’égarer, des fois sans laisser paraître
[?] endormi dans quel bail ?
t’as mis dans [?] un sac de nœuds depuis c’est pareil
[couplet 2]
ni d’avance ni de remise, j’rêve ni d’après ni d’avant
vie à vendre qu’on se refile, c’est si facile, c’est si navrant
il s’agit d’remonter la pente, que faire quand on sentira l’manque ?
ça fait bien longtemps qu’j’deal avec, pulsions dans mon tempérament
j’recommence à démarrer pour un rien, déraper, dérailler pour un cligno ou un r’gard
[?], c’est fou c’qui peut s’passer le coup d’un soir
ah toi t’es l’genre qui en fait tout un foin, le genre qui aime s’entourer tout plein d’tchoins
tu perds d’l’énergie, devient fou d’un rien, marre qu’on me rationne moi j’veux tout avoir
[pré+refrain]
tu rêves ils ont quadrillé l’périmètre, évade+toi mais sache que t’en sortiras jamais
ta chute, les vipères et les jaloux y veillent, pour tout graille, n’attend pas d’te sentir affamé
moi l’marché j’vais l’attraper par l’perinée, tu m’pensais dépassé, périmé
c’est moi qui dit quand ça s’termine, pour te dire qu’la [?] un tiers d’idée
[refrain]
c’est comme prendre deux chiens qui s’battent et tenter d’les séparer
ils me laissent la parole, ouais mais sans m’laisser parler
ça va s’égarer, des fois sans laisser paraître
[?] endormi dans quel bail ?
t’as mis dans [?] un sac de nœuds depuis c’est pareil
[outro]
[?], chaudar
[?], ouais, 91+3, chaudar, chaudar
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