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harbor & $oudiere – affaires lyrics

[paroles de “affaires”]

[couplet 1]
j’suis pas à ma place dans les formats
dans lesquels ils voulaient m’enfermer
pour monter là ou j’suis formé
c’est l’argent qu’a tout déformé
tu t’arêtes t’as plus de formats
j’fais un dernier petit effort moi
devant de but j’met des feintes moi
nique les débuts nique les fins d’mois
j’ai tué l’boss de fin j’suis bloqué à l’étage (bloqué à l’étage)
j’l’ai tué j’sors le flingue sur le mur y’a des traces (sur le mur y’a des traces)
à qui tu t’adresses quand tu fais le [? “mac” à 0:30] là
bellеk j’ai le nine coffré sous le matеlas
p’tit joint avec le café dès le matin
nouveau style bâtard ouais j’sais c’que tu mates là
si j’tue mon ennemi j’pourrais pas l’enterrer
si j’coffre tout mon bif j’prendrais pas d’intérêts
et pour en faire aucuns cours d’adaptation
on t’jette à l’eau tu deviens fort en natation
tu fais des brasses et des croles
nan t’es dépassé tu coules (dépassé tu coules)
tellement d’poids sur tes épaules qui pourrait casser ton cou

[refrain]
l’heure où les volets se ferment bon moment pour les affaires
le problème c’est qu’à la fin nos reufrés la juge enferme
d’ici toutes les portes sont fermées
d’ici toutes les portes sont fermées
le problème c’est qu’à la fin
j’compte plus les reufrés enfermés
l’heure où les volets se ferment bon moment pour les affaires
le problème c’est qu’à la fin nos reufrés la juge enferme
d’ici toutes les portes sont fermées
d’ici toutes les portes sont fermées
le problème c’est qu’à la fin
j’compte plus les reufrés enfermés
[couplet 2]
dis moi c’est la vie, la mort qui te presse ?
ou bien c’est l’regard des autres qui t’oppresse ?
moi j’fais des sous j’pense à rien quand je brasse
y’a qu’des allées sans retour j’prend le pass
et si j’reviens jamais c’est que j’suis plein sa mère (plein sa mère)
nique une vie plein d’galères, un smic, j’veux 15 salaires (15 salaires)
là haut y’a d’plus en plus de gens que j’aime
mais y’a qu’les avions qui redescendent
chaque jour j’fais le double avec le temps que j’ai
gros c’est même plus moi qui guide mes jambes
là j’suis dans un bail évite de déranger
quand j’compte le bif, j’fais des lignes j’fais des rangées
et la nuit j’fais de cauchemars qui me rongent
mon innocence j’sais même plus où j’lai rangée
ouais tu peux mourir étrangement
si j’peux te conseiller franchement
appuie sur off coupe les branchements
sortez les trousses, les pans+m+nts
j’vend le dry j’suis jamais à sec
4 kilos c’est l’prix d’une [? à 2:00]
pour la maille j’fais jamais la sieste
trop la dalle graillé l’assiette

- harbor oudiere lyrics

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