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ltf – naruto lyrics

[intro : b-biface]

non j’suis pas le premier à te le dire gros des erreurs on en a tous fait
j’pense à m’éloigner de tout ça et sûrement que je leur donnerais pas de nouvelles
enfermé dans mes sons une voix qui provoque des acouphènes
moi je sais que je sais pas tout mais au final je sais déjà tout frère
tu veux des vrais sons, j’pense qu’à me faire sauter le caisson
mais j’suis pas faible non j’suis pas encore bé-ton en dépression
j’raconte une histoire, qui va t’en donner des frissons
j’raconte une histoire …

[couplet : b-biface]

j’raconte une histoire qui va t’en donner des frissons, qui va faire vibrer ton cœur
comme la première fois qu’à ce garçon t’avait livrer ton corps
t’aime pas la vérité, une fois que ça dit vrai tu cours
c’est comme ça tous les jours comme ce clochard qui ivrait encore
mon gars si tu veux du vécu j’en invente pas
et nique bien ta mère si tu me propose une prod’ à 150 balles
le rap c’est ma p-ssion, c’est ma boisson quand j’ai la gorge nouée
j’suis impatient de voir tous ces enfoirés devant moi s’agenouiller
oublie le m-ssage douillé
fais des sons audibles, la roue tourne fais gaffe à pas p-sser sous celles de ma future audi
appelle moi bomaye, appelle moi pour mailler
guette mes chicos tordues sale enfoiré moi j’suis là pour grailler
viens on part, j’suis presser de partir vers milan
après moi personne t’enfile comme un préservatif féminin
tu fais tout ce qu’il faut pour me plaire et t’as mit le vernis hein
la presse est active, observe tout est s-xy, habit vermillon
putain
j’ai taffé avec des gens sournois
ils m’ont prit pour un sous re-noi à croire que j’étais sourd moi
il y a des c-sseurs, des [?]
et c’est comme ça dans chaque domaine
j’préfère taffer mon abdomen plutôt que de finir saoul le soir

ouais j’rêve de grands apparts, pas d’creuver dans un bar
c’est dur quand ta mère voit que tes défauts
des qualités tu penses que t’en a pas
c’est mon cas j’suis bon qu’à gratter des textes de rap
a penser qu’j’suis enfin bon quelque part et personne testera
j’suis à l’écoute quand y’a un pote qui vide sa pelle
j’ai pleuré avec lui quand il m’a raconté la vie d’sa mère
les miens se crèvent et se séparent
y’a pas d’remède quand j’vois que les liens se créent puis se détachent
retour de l’île ; accident de voiture
si on savait on aurait tout fait pour esquiver cet incident vois-tu
relou c’était pas nécessaire
la signification l’-ssr ne serait qu’un aller simple sans retour

et on r’commence comme-ci de rien était
comme ci la vie d’un homme pouvait s’finir en plein été
on restera amis toi et moi qu’tant qu’tu touches pas mes terres
moi j’ai un flow national mais j’aimerais qu’il soit planétaire
pourtant j’ai mal, mais j’te fais part de c’que j’ressens
malgré qu’j’ai toujours pas trouvé une seule personne qui m’ressens
je sais que j’me battrais contre ce reflet j’le referais
mais je sais que j’suis perdu dans les cieux vers ces yeux verts

mais c’n’est qu’un aller simple sans retour
et même si nos chemins se séparent c’est quand même la vraie fin qu’je redoute
j’tenais à t’le dire
gros des erreurs on en a tous fait
j’pense à m’éloigner de tout ça et sûrement que je leur donnerais pas de nouvelles
enfermé dans mes sons une voix qui provoque des acouphènes
moi je sais que je sais pas tout mais au final je sais déjà tout frère

[couplet : b-biface]

j’raconte une histoire qui va t’en donner des frissons, qui va faire vibrer ton coeur
comme la première fois qu’à ce garçon t’avait livrer ton corps
t’aime pas la vérité, une fois que ça dit vrai tu cours
c’est comme ça tous les jours comme ce clochard qui ivrait encore

- ltf lyrics

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