mn (fra) – soirs d’automne lyrics
[paroles de “soirs d’automne”]
[intro]
yeah, yeah
yeah, yeah
yeah, yeah
kyle junior, ah, ah, ah
yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah
bah ouais, bah ouais, bah ouais
[refrain]
j’oublierai jamais ces soirs d’automne où j’rêvais d’avoir mon nine (eh)
où elle rêvait qu’j’lui donne du time (yeah) mais j’n’en avais qu’pour noircir mon âme
pour me venger, il suffit d’une balle, oh ouais, pas besoin d’chercher tout au fond d’mon crâne
d’espagne à amsterdam, j’veux qu’on saigne mes sons comme mes freestyles
[couplet unique]
à l’école, j’avais pas d’énergie à revendre mais des produits différents de deux en croix, néanmoins
intelligent, putain, j’étais dans mon élan mais certains fils de putes, ils ne voulaient pas croire en moi
allez, pousse+toi de là, j’ai plus l’temps de trop parler, casse+toi de là, j’ai concu’ à inhaler
barre+toi de là, j’dois rattraper les années (oh, oh, oh, ok)
ouh, ouh, ouh, ouh (yeah), trop d’facilités, négro (yeah)
j’descends de la mazda, coup de crosse, t’es terre+par, j’vide tes poches et je m’installe dedans de nouveau
nos voisins vend de la c et moi de même, non, j’rigolais, oublie ça comme dans many men
non, c’est men in black plutôt, ouais, plus sérieus+m+nt, dans l’illégal, j’ai fait plus d’un yen (ah)
j’préfère large une balle dans le ied+p plutôt qu’une vie pleine de regrets, laisse ça
j’ai dit : “laisse ça”, ouais, ouais, laisse ça, regroupé dans des tours à notre insu et subir ça
j’peux pas, mon négro, pas tous égaux, dire que même devant la loi, on n’est pas tous égaux
t’es là, tu m’vois gentil mais faut pas pousser, gros, tu vas t’faire ter+sau, j’veux v’là les pesos, pesos
[pont]
ouh, ouh, ouh, ouh, trop d’facilités, négro
j’descends de la mazda, coup de crosse, t’es terre+par, j’vide tes poches et je m’installe dedans de nouveau
moi de même, ouais comme dans many men
like many men, like many men
[refrain]
j’oublierai jamais ces soirs d’automne où j’rêvais d’avoir mon nine (ouais)
où elle rêvait qu’j’lui donne du time (yeah) mais j’n’en avais qu’pour noircir mon âme
pour me venger, il suffit d’une balle, oh ouais, pas besoin d’chercher tout au fond d’mon crâne
d’espagne à amsterdam, j’veux qu’on saigne mes sons comme mes freestyles
[outro]
j’oublierai jamais ces soirs d’automne où j’rêvais d’avoir mon nine
où elle rêvait qu’j’lui donne du time mais j’n’en avais qu’pour noircir mon âme
pour me venger, il suffit d’une balle, oh ouais, pas besoin d’chercher tout au fond d’mon crâne
d’espagne à amsterdam, j’veux qu’on saigne mes sons comme mes freestyles
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