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nekfeu & alpha wann – le retour du vrai bail lyrics

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[intro]
nos sbires contre-attaquent
c’est l’retour du vrai bail, bas-m-nt beatzz
nique les clones j’te l’ai déjà dit
radar anti-costume vert dans le métro, activé
on est bons, on est bons
radar anti-costume vert dans l’métro, activé
on est bons, on est bons

[couplet 1 : nekfeu]
radar anti-costume vert dans le métro, j’me balade sans micro
j’pars en ville trop du-per dans le réseau
d’la racaille sans diplôme
où les enfants te crachent leur rage quand tu joues l’bourgeois
mais t’entends le rap de ma tribu l’entourage, ouais !
des têtes plus suspectes que la mort de michael
j’élabore mon accueil quand j’té-gra le bord de ma feuille
on a trop d’ennemis, nous, mais nos illuminatis sont inoubliables
filous comme julian et hooligans comme couliballi
là, je fournis la menace fantôme, les groupies, ça me l-sse
quand j’pose, je parle de ça les pouffi-sses se battent dans l’hall
accroupie, là, t’écarte ton minou minable mais n’oublie pas
que t’es soumise à moi quand tu joues la zoubida, tadada
avec tes dialogues t’es pas cher aux sous-t-trages, le soutif part
accroupies-toi, t’étais trop faya pour y croire, ouais ouais
c’est bien le nekflamme, le vrai gars d’paname, bébé
des airs de sheitan quand j’prépare de vrais cd
elle m’dit : “mets-moi dans l’fond”, j’lui dis : “fais moi fond fond”
elle m’dit : “j’ai pas d’tampons”, j’lui ai gté-doi le bonbon
j’évite les sales rencontres avec les t-ss-pé
j’débite des phases dans l’ombre avec des face b
everyday i’m hustlin’, les dj am-ssent les
b-sses et les m-sses et j’p-sse réciter ma saleté
j’vais effriter la sale zeb, et ça, la salle le sait
j’ai de l’idée à manœuvrer, c’est c’qui fait ma rareté
biatch à la taille de guêpe, là, ma jolie t’es bien fine
tu pillaves à ma table mais faut la majorité cainri
j’me la raconte pour rien, les nanas fondent
mon anaconda de l’affront soudain
n’aies pas la honte, j’suis même pas p-ssé par la fonte, cousin
m’appelle pas mon poussin, j’sors des catacombes d’toussaint
j’prépare ma ronde, j’me sens libre quand je fais du vélo
et j’ai fumé ma tige sur le quai du métro
léger, pour être protégé faut t’lever tôt pd
f-ck les qués-cro, les pecnots, les mecs obsédés
oh ! t’es qué-blo, tes reilles-o se sectionnent
si les cops te questionnent c’est l’écho de mes flows
fêlés, j’porte mes fautes et j’dépose mes notes
et j’compte dans mes joies perso le berceau de keïko, neslet
c’est l’entourage, une meute de loups sauvages
et souvent tendres, le coup s’propage
pour que tous ceux à bout d’souffle m’entendent

[scratch]
c’est l’retour du vrai bail

[couplet 2 : alpha wann]
j’déboule avec le sac à dos, à la boba fett, avec nous cojak
prends du prozac, nique les autres adversaires
j’lâche le gaz à morad, d’la vie j’retiens
y’a beaucoup trop d’connards et surtout trop d’clones à ken
nique les clones le blaster te brise les os…
c’est la prise des croms
recherché par luc, yan, chewee, j’avoue, oui
j’ai buté un tas d’gouines sur tatouine
j’étais grave blasé, j’rencontre ses sales t-sse-pé
au bal masqué, j’sors le plasma, le sabre laser
j’découpe c’qui bouge, tout c’qui court s’fait shooter
celles qui prennent leurs genoux à leur coup se font couper court
des jedis, quoi ? je m’en bats, moi
j’suis alph’ wann, le vrai batman de l’etoile noire
mais bon, nique les schmits de l’esp-ce
ma clique te laisse là, dans ta propre p-sse de clébard
j’adhère pas à votre école, après mon p-ssage, guette
les corps d’hommes morts, moi, ma force vient du côté obscur
mais revenons sur terre, j’suis l’frelon keus long
qui pense qu’y ait rien après au nom du père
sur scène j’performe darement, j’me taille quand j’ai l’argent
puis je m’achète une paire d’air force b-sses blanches
la merde est vraie, trace d’pneus, j’pilote le beat
tu t’prends pour superman tu finiras comme christopher reeve
j’sirote un gin avec cet ivrogne de guiz’, normal !
avec abou, on s’isole et on roule un pet-t cône de weed
la vie est une maison, checke le loyer d’son bail
j’veux choyer mon time, avoir la maille de dwight howard
on est parigots, amène la soupe qu’on lâche un glaviot
on p-sse sur leurs grammy awards et leurs radios
retour du vrai bail, yo, on fait les mailles
et bye bye, j’fly fly, adios !
j’viens faire affluer la tech’, tu vas suer, voir une nuée
d’buée, tué dans une ruelle parce qu’tu puais la merde
j’suis une façade, un muret, depuis que j’ai mué j’suis impur
et j’cherche à être thuné, faire hurler des putes dénudées
j’me suis juré sur mes prunelles de faire du son
pur et dur pendant ma durée sur terre… pute nègre !



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