ninho – freestyle generation 88.2 dj myst lyrics
[paroles de “ninho x sirsy + freestyle generation 88.2 dj myst”]
[couplet 1 : ninho]
[couplet 2 : ninho]
une erreur on t’baise ta mère gros, lis bien l’protocole
baise la bac, la juge et fleury là il faut qu’les potos sortent
écoute : follow moi, si tu veux du gros ceau+mor
au chtar on est tous muets, l’opj fait l’monologue
un verre de sang un bon joint d’seum, ça donne un titre hardcore
mi amor j’suis né dans l’bloc donc au poste on nie à bloc
mes soldats on l’bas lacoste, mes ients+cli vont s’balader
sacré paradoxe mais la vie m’a pas raté
les fils de teurs+poin faudrait qu’ils périssent
tous les chemins mènent à rome donc
faut qu’on quitte beriz, hein
faut qu’on quitte beriz et qu’on s’envole vers venise
mais tire encore deux barres, ça c’est c’que les teh me disent
tu veux du lourd y’a pas d’soucis
une erreur on t’baise ta mère gros, lis bien l’protocole
baise la bac, la juge et fleury là il faut qu’les potos sortent
écoute : follow moi, si tu veux des gros ceaux+mor
au chtar on est tous muets donc l’opj fait l’monologue
un verre de sang un bon joint d’seum, ça donne un titre hardcore
mi amor j’suis né dans l’bloc donc au poste on nie à bloc
mes soldats on l’bas lacoste, mes ients+cli vont s’balader
sacré paradoxe mais la vie m’a pas raté
les fils de teurs+poin faudrait qu’ils périssent
tous les chemins mènent à rome donc
faut qu’on quitte beriz, hein
faut qu’on quitte beriz et qu’on s’envole vers venise
mais tire encore deux barres : ça c’est c’que les teh me disent
tu veux du lourd y’a pas d’soucis, des sous pour m’assoupir
les chtars nous suivent, ça gratte sous weed
et pour l’instant j’ai pas d’groupie
tu m’vois pas sur l’droit ch’min, j’ai trouvé un raccourcis
on m’a dit : “bsartek le son mais comme j’suis khel j’ai pas rougis”
si t’as sucé toute l’équipe, pourquoi veux tu m’galoche ?
mon cœur une branche cassée donc tu tombes si tu t’accroches
quand tu t’marries à l’illicite, logiquement la stup’ t’accoste
400 ans d’esclavage en 2015 j’suis plus d’accord
un concurrent m’a dit j’ai l’tabouret, il manque plus qu’la corde
on coupe la prod’ on veut s’barrer d’ici, faut des thunes d’abord
t’as l’air de t’gratter les veines, p’t+être en manque de nicotine
j’ai pas la vie d’grossiste mais les ients+cli j’sais qu’j’les hypnotisent
mon gang contre+attaque, les tox’ ont la dalle
les chtars jouent les photographes et prennent des toph’ en rafale
par ici y a pas d’issue donc l’avenir parait sombre
pour les sous t’es paresseux bah tu t’feras tacler par les autres
et la vie c’est pas du cinéma donc j’m’en fous d’ton rôle
en temps d’guerre tu cherches un couteau, faut juste que j’touche mon dos
car les trois quarts sont des traîtres , les trois quarts sont des pd
un quart sont des vrais frères, j’me demande qui viendra m’aider
leur mère les trainées à ceux qui voulait m’freiner
pendant qu’on s’faisait la rre+gue ces pd signaient des traités
[couplet 3 : ninho x yaro (sirsy)]
[couplet 4 : ninho & yaro & tito (backs)]
dans ta culotte, il n’y a que des flaques, rmt 75, j’ai reconnu la plaque
tu mé+cra, je me taille, j’ai mon joint, j’ai ma teille, me+seu sous l’manteau, c’est comme ça qu’j’fais ma paye (eh bâtard)
quarante degrés, je me baigne, une pensée pour les frères toujours bloqués au bagne (eh bagne, bagne)
plus rien ne m’étonne, le 9 millimètre fait tomber les montagnes
dans ta culotte, il n’y a que des flaques, rmt 75, j’ai reconnu la plaque
tu mé+cra, je me taille, j’ai mon joint, j’ai ma teille, me+seu sous l’manteau, c’est comme ça qu’j’fais ma paye (eh bâtard)
quarante degrés, je me baigne, une pensée pour les frères toujours bloqués au bagne (eh bagne, bagne)
plus rien ne m’étonne, le 9 millimètre fait tomber les montagnes
et quand les balles pleuvent que veux+tu faire ? j’m’approche d’la vingtaine, un peu du+per (per)
rien n’a changé sur l’ter+ter, à part que mouns est devenu père
ok, timal, sa ka fet là ? t’es dans les selfies ou t’es dans la selha ?
tu fumes la semi, pourquoi tu fais l’mac ? all eyes on me comme si j’étais neymar (mar, mar, mar, mar)
et dans l’game, je démarre (marre, marre, marre, marre) mais je suis un sénior
fonce dans le mur comme senna ayrton ou va niquer tes morts le jour de l’enterrement
frappe demi volée, volée, oui, tu l’as deviné, ‘viné, n.i.n au volant, volant, faut qu’ça paye (paye, bâtard)
numéro dix comme pelé, vous ne faites pas l’poids, sur la vie d’ma mère (sur la vie d’ma mère)
tu connais mon name, t’façon, j’suis sur la lune avec neil armstrong
soit tu payes, soit tu payes, garçon, jeffrey, jeffrey, remets des glaçons
j’arrive avec l’équipe (‘quipe), grosse bouteilles dans le club (grosse bouteilles dans le club)
on rap sur des putains d’beats, ton rap suce des putains d’teubs
ok, pilon, amnes+es+es+es (eh es), la beu+her m’appai+ai+ai+aise (eh aise)
elle est bonne, elle est be+be+be+belle (belle), à l’hôtel, je la bai+bai+bai+baise (binks, binks, binks)
si tu m’dis qu’c’est lourd, j’te dirai : “thanks” (thanks, thanks)
mais pour l’instant, j’suis bloqué dans l’binks (binks)
algérienne, salade, bi+bi+biggy, boloss, pochtard, bi+bi+bigo
jus de bagarre dans la ‘teille, ‘teille, ‘teille, ‘teille et devant les shtars, on bég+ye pas
et là, tu me suis sur le tempo, parle dans mon dos, ça n’m’atteint pas
dans l’tier+quar, y a ceux qui s’lèvent tôt et ceux qui touchent les plaquettes à vingt+quatre (quatre)
ils font du cinéma, je les baise sans les mains, salem à tes rappeurs (oui, j’vais les allumer)
oui, j’vais les allumer, oui, j’vais les allumer, ce soir, j’suis mal luné (ce soir, j’suis mal luné, bâtard)
ouh, ouh, ce qui sort de ma bouche, c’est pas d’la buée
ta relation ne rime à rien rien mais elle t’a baisé, elle t’a ruiné
puce cramé par les schmits, plaquettes, sh+t, barrettes, spliff
massa, quet+bri, garette+ci, vu d’ici, tout paraît gris
personne va m’arrêter , vodka citron dans le mojito
oui, c’est ta re+mè qu’on va niquer , si devant l’opj, tu vomis tout
j’y vais molo, molo, ils sont pas préparés, j’suis comme emile zola y a quelques années
commerce triangulaire mais l’business est carré pah, pah
ils parlent de kalash de “ra+ta+ta”, que d’la mala, mala, mala (bâtard)
dans la rue, c’qui ne tue pas te laisse des balafres, balafres (bâtard)
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