rouge gorge music – flambi lyrics
(couplet 1) :
ta mort vaudra bien plus que ta vie…
ta mort vaudra bien plus que ta vie, offre-moi tes cauchemars que je me nourrisse
j’ai de belles comptines, je serai ta nourrice ; déplacer ton iris à l’épingle à nourrice, le péril de l’homme est pris à nos risques
j’attends patiemment cerisiers en fleur, les “oclouros“ sont la lame qui t’effleure
nombreux sont ceux qui convoite l’argent du beurre mais rarement donner à ceux qui produisent dur labeur ; ça sert à rien d’aiguiser tes quenottes, pas de vocalises tu t’es trompé de notes
continu de faire tes jeux sadomaso, velours sont incruster sur les menottes ; couleuvres et fanges dans tes naseaux, la main est trop lourde sans la coco
suce la bite, suce la bite, suce la bite du prêtre et repent-toi, arrête de chialer vas-y reprend-toi ! tu m’c-sse trop les couilles vas-y putain repent-toi !
toi, toi, toi à trop croire aux mirages on reste à nos récifs ; à attendre le temps on finit par être anorexiques
nous ne sommes pas égaux, ta gueule est asymétrique ; ta vie au bout d’une corde putain ta mort est triste maah !
(pré-refrain) :
t’entends le silence des démons…
(refrain) :
j’te terrorise comme un bandit, tu vas finir raciste comme ghandi
t’as la larme à l’œil devant bambi, j’te gobe en une bouchée comme un flambi
j’te terrorise comme un bandit, tu vas finir raciste comme ghandi
t’as la larme à l’œil devant bambi, j’te gobe en une bouchée comme un flambi
(couplet 2) :
j’-ssume ma part de féminité, toi tu n’as aucune masculinité
j’ai pris la couronne avec humilité, tu ne m’es plus d’aucune utilité
j’te brise le cul comme un maton, autour de moi que des chatons
tu vas te faire bouffer pet-t raton, mmh, à qui la faute me dira-t ’on
je ne me nourris que de fétus, j’te divise en deux à la dreyfus
si j’ai les yeux rouges et la peau pâle, c’est que tu as devant toi la ghoule du mal, eh !
t’entends le silence du démon, le singe applaudis des deux mains
dans l’arène, j’y serais dès demain, pour coloscopie pas besoin d’un médecin
nan, la vie n’est qu’un jeu, tous des avatars ; t’as des chaînes à cancun comme à la zavatta
faut snapper tout ça devant viol publique, ne pas tendre la main tu es trop pudique
sur la chaise électrique, je pratique défrisage ; je t’érafle la peau, je te dévisage
je joue au osselets, je fais désossage ; j’vous envois tous au front pour le déminage
t’a fait ton temps, faut savoir s’arrêter à la première consultation ; ta carrière est tombée, tu finiras comme tous les autres en solitaire
les papilles dilatées, je ne cherche que le goût de l’élévation ; j’me repent que de belles âmes insolites
j’te le répète encore si t’a pas compris, tout niquer est ma forme de survie ; on te conditionne à payer que des factures mais le bourrage de crânes n’augmente que la fracture
à tes idéaux, je suis réfractaire ; comme ton pénis, tu vas te rétracter
perpétuelle progression, je suis un vrai acteur ; j’ai pas beaucoup d’amis, je ne suis pas un vrai acteur
calligraphie sur ta tombe, je serais ton rédacteur…
(outro) :
mon producteur et des beats et des beats, toi tu ne gobe que des bites et bites
dans tes oreilles, puissance de mégabeat ; c’est dans ta keschné que le monde cohabite
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