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uchiwa – trahison lyrics

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[introduction]
mtz, mastufly, djoum…
uchiwa clan…
les bouts d’sh-t s’-ssemblent…
double six, triple zéro…
hé…

[djoum]
il m’a dit “j’sais qui t’es au fond” et l’équité c’est qu’sa femme m’a dit “on s’est quitté, j’te propose d’y méditer”
fonfon, mon haleine m’écœure mais tout l’monde compte sur moi comme eren yeager
les princesses j’les tiens par les rennes, par les reins, il est hyène le cœur car carnivore, parlez d’rien ou d’bizzness avec mes frères on sait l’faire tard l’hiver, tah l’ivrogne : j’ai mon verre et l’terh comme un taliban, j’m’alimente qu’en alliant : alliances et litrons d’sh-t, j’suis un lion d’pologne, anthologique, j’nique les colons bonhomme et si t’es endolorit miss, bouge tes tendons en rythme vite
si t’entends dire qu’djoum rase les mur, c’est que j’me suis mis au tag ou qu’je suis mes frères portugais, jamais au porc j’poucave, j’parle d’aller au nord, j’oublie d’mentionner l’sh-t sous la semelle, les soulards j’soulève, les sous la semaine c’est qu’sous la pleine lune, j’ai douze là : cernes, j’épouse la fille ? t’es fou j’la quitte car les doutes s’amènent en beau maxt, j’ai des rôles qu’avec les bomal, un j et j’décolle, j’parle pas d’la feuille, vite, j’balafre qu’larfeuille vide, là y a l’feu l’vice car il a l’feu vert, j’suis en marge de faire des phases de fou en larve frère
elle la met entre ses seins, j’ai la tête plus grosse qu’le gars einstein, même si j’fais qu’danser sain, j’sais qu’j’vais finir très sombre comme un tie and dye
j’ai la pression mais j’apprécie l’con qui taille et die à cause du manque de précision
j’entends : “si djoum parle à elle, c’est parallèle pourtant elle finira pas hlel” et j’paralyse les parleurs qui baratinent deux par deux tout les quart d’heure, les bar à pute j’y vais pas j’préfère être dans une baraque ou l’paradis, en bas, là je suis embarr-ssé quand tu m’as embr-ssé dans l’embarras c’est : l’emballage qui r’couvre le chichon, le sh-t qu’on r’file et ensuite on fil, hé fiston : essuie ton arme après l’crime, j’essuie mon mic après l’rap, j’apprécie déjà qu’t’es fan, ta voisine est -ssagi, j’la prends à partie dans l’appart et y a pas d’apartheid et là t’es fané, hélas les phases j’les ai magique, ouais, effet majeur qui fait qu’le majeur fait mal vite
si leur flow c’est d’l’eau, le mien c’est d’la poliakov et c’est un mythe si quelqu’un t’dit qu’il a d’jà vu le polak off

[mastufly]
j’méne une vrai vie de con que neyz et mes shrab m’ont concoctés de la bombe , c-cktail molotov, vos nez dans la coco , j’vous baise à mort comme draco contre appolo à chrome , j’vends pas de la beuh
je vends du rêve, je prends pas les putes au sérieux
j’les prends par derrière, comme un rappeur millionnaire
a la retraite , j’galère a tirer un trait sur elle ouais.. elle était ma drogue, j’préfère me faire fumer que fumer
mais pire que ça j’me détruis la tête
appelles moi junkie en 1 semaine j’ai étais
mon meilleur ient-cli ! pan!cl1ck!
pas d’plantes dans le uzi des dés-kiss c’tant triste
le temp de crise , qu’sous la pluie les prods
grésillent qu’je sors les crocs du grizzly j’te baffe au micro je t’affaibli
tu taffais oui ? v’la l’équipe ! on s’excuse sorry
qu’on me cer-su, v’la ma trique
j’troque mon trac, avec 2 , 3 sourires
je croque je craque, quand j’les vois s’ouvrir
a moi, la société, les lope-sa
j’péte sa , le lonp’s au bout de mes lips
a l’écart je m’éclipse
et j’vois qu’j’innove trop vite qu’ils se l-ssent de moi
car, j’suis sur un autre endroit ,où , la crise se creuse
l’abîme s’impose on s’éternise ma sœur
l’asile s’oppose ,on brise la chaîne
en ville, on s’pose, sans maille on kick notre dope
sans mic on kiff à mort sans traces on fuit la c0ke
100 taff on fume d’la bonne

[mtz]
des foies j’pense à l’époque, me dis qu’j’y ai laissé trop d’chose
qu’on en faisait plus avec rien dans les poches
que sous l’poche, on comptait les nuits en cônes
éblouis par la lampe torche du schmit qui t’as surpris
comme une frappe du pied gauche
y’à des balles qui s’perdent, et des phases qui t’pétent dans la tête quand ton corp est en batterie faible
ton organisme s’inverse à chaque barres du pet, et j’aime
que ceux qui n’m’ont jamais déçus
les autres j’y tire dessus, les baise jusqu’à c’qu’ils saignent d’l’-n-s
tellement des putes, j’les ferais tapiner en jupe comme un putain d’joueur d’cornemuse
on a parqué les indiens en réserve, moi je cour ma ville à l’ombre des réverbères
espère encore croiser l’être qu’on m’a promis si belle
faudrait pourtant tomber sous le charme d’un string ficelle
en dentelle pour celle, qui rendent le supplice plus amer et
j’suis plus amené à m’exprimer sur mon cahier
quand la boisson me brûle l’œsophage j’me dis qu’c’est dommage
d’n’avoir que des rêves moissonnés
mais avec l’âge on partage nos infidélités
le plafond d’verre ferme ma cage et j’ai encore l’espoir d’m’échapper
si je tourne la page parfois il m’arrive de relire mon cahier
et la leçon finalement est acquise, saigne ma mine
l’histoire est triste loin des comptes de fées
je n’l’ai jamais apprise ou on m’l’a mal enseignée
si au taf tu t’es saigner pour signer une promesse de confort modéré
dans la conformité tu finiras par saigner ceux qui autre foie te soutenaient
tu vas glisser dans la spirale, mais il sera trop tard pour venir pleurer quand les yeux fermés t’entendra l’écho de tes gloires p-ssées
-ssez
j’vais retourner boire ce sky en attendant qu’il m’noie et
j’vais retourner boire ce sky dans les pages d’mon cahier



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