yovo – mafia moderne lyrics
[intro]
woh-woh-woh-woh
woh-woh-woh-woh
woh-woh-woh-woh
woh-woh-woh-woh
y.o.v.o
[couplet 1]
la politique est sens d’ssus-d’ssous
mais arrivée sans soucis
les civils sans sous
mais je garde le sourire
c’est une sorte de contrefaçon
je suis bien contre eux d’t’façon
pêcheur dans un banc d’poissons
j’espère pas choper l’hameçon
ou l’âme sœur, qui m’évitera désaccord
et la peur de ces dictateurs, qui disent que t’as tort
et alors, et alors, que des clashs bien hardcores
et encore, et encore, des kalashs qui s’accordent (blah !)
désolé de ce vocab’, sans forcer mes cordes vocales
tout suspendu à un câble, le fn n’est pas sécable
mais ça m’reste, en travers, de la gorge
malgré les efforts, des cavistes forts, des ennemis se forment
pas un geste de sociabilité, ils veulent tous les renvoyer
crois-tu qu’on est tous français, regarde bien tous tes ancêtres
une mafia ou une secte, pour moi c’est que des insectes
qui peuvent commettre de l’inceste, tout ça quand tu fais une sieste
[refrain]
j’suis allergique au pollen, à le pen et ses collègues
pour ma part, c’est une aubaine, j’ai d’la peine quand ils se plaignent
j’suis allergique au pollen, à le pen et ses collègues
pour ma part, c’est une aubaine, j’ai d’la peine quand ils se plaignent
moi, je te vois, comme une arme, qui s’empare d’un autre
moi, je te vois, comme une arme, qui s’empare de notre âme
[couplet 2]
allez réveille-toi, tu vois pas qu’on y voit rien ? (wah)
pour eux tu n’as pas de toit, si tu es ivoirien
toi t’es parisien, donc tu t’en bats les couilles
mais lui n’est pas d’ici, donc forcément on le fouille
moi j’m’en tape, et surtout quand tu jactes
pour dire que t’éjectes un mec très honnête
heureus-m-nt, t’es pas au pouvoir, tes pensées sont noires
contrairement à c’que tu penses, tu t’auto-déçois
mais c’est pas un jeu d’échecs, tu n’es pas très diplomate
on cesse de plier nos cartes, c’est échec et mat
prenez du recul, votre soif de guerre m’a tué
vous laissez que d’l’amertume, grâce à vous j’irai voter (yah !)
plus tu jactes, moins tu penses, les causes ont des conséquences
moi je rappe, je compense, les cons qui causent sans coincer l’anse
ils tiennent le fil, et toi tu danses, plus tu t’défiles plus c’est dense
moi j’écris, et je pense, qu’les grosses têtes mènent la cadence
[refrain]
j’suis allergique au pollen, à le pen et ses collègues
pour ma part, c’est une aubaine, j’ai d’la peine quand ils se plaignent
j’suis allergique au pollen, à le pen et ses collègues
pour ma part, c’est une aubaine, j’ai d’la peine quand ils se plaignent
moi, je te vois, comme une arme, qui s’empare d’un autre
moi, je te vois, comme une arme, qui s’empare de notre âme
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